Spa Francorchamps en 1962

Salut. Voici un film couvrant un tour complet de l'ancien tracé de 14.10 km du circuit de Francorchamps, commenté par le célèbre pilote Lucien Bianchi.
J'ai souvent roulé sur ce circuit, une terreur pour les pilotes mais un cadre extraordinaire. L'actuel est moitié plus court et mieux sécurisé mais il reprend les parties emblématiques de la version de base, qui a près d'un siècle d'existence maintenant.
Ce film a été fait lors de tours d'entrainement, sur route ouverte ! Ils croisent même une VW dans le raidillon. Puis il y a ces deux corbillards qu'ils dépassent. De la folie !

http://blog.sonuma.be/un-tour-du-circuit-de-francorchamps-avec-lucien-bianchi/

la 2eme image c'est un ford 59

Oui. '58 ou '59. Le second j'hésite entre un Opel ou un autre ricain plus ancien ?

definitivement un 59 mon pere en a eu un c,est les memes tail lights et pare choc

On reste angg quatrième!!

Marseille pèse lourd dans l'accent on dirait bien

C'est incroyable qu'il y avait des tours d'essais sur route ouverte. Et il y a des maisons autour du curcuit

The3stops a écrit:On reste angg quatrième!!

Marseille pèse lourd dans l'accent on dirait bien

C'est incroyable qu'il y avait des tours d'essais sur route ouverte. Et il y a des maisons autour du curcuit

Lucien Bianchi était belge d'origine italienne, il a conservé son accent chantant.

Je fréquentais déjà ce circuit à l'époque mais je ne me souvenais pas que les bolides côtoyaient le trafic en semaine. On trouvait probablement ça normal. Après tout, au Mans les pilotes des 24h rentraient bien à leur hôtel avec leur auto de course !
Les maisons, c'est normal vu que c'était un tracé routier. Actuellement il est devenu permanent, les maisons ont été expropriées et démolies. Nombre de pilotes sont morts contre ces façades, dans Masta les tourismes descendaient à 200 km/h+ dans les '60s (et sous la pluie...)
La course à cette époque était réservée aux gros coeurs, les gamins du XXIè siècle vivront plus vieux mais n'auront jamais ces montées d'adrénaline que connaissaient les héros de mon adolescence.