Economy Run

Economy Run.

Partie I



À l’époque, aux beaux jours de l’Amérique, les gens (voir le chef de famille) changeaient d’automobiles pratiquement a tous les deux ans et souvent sur un coup de tête, de quoi mettre en beaux fusil maman Germaine qui voyait son mari dilapider le salaire familial dans quelque chose qu‘ils n‘avaient pas vraiment besoin!



Puisque la cellule familiale était contrôlé par le patriarche, les décision sur l’achat d’un automobile étaient typiquement basé sur les pulsion d’achat de l’homme et la publicité a toujours été faite en conséquence.



N’en soyez pas gêné messieurs, l’impulsivité et un trait de caractère typiquement masculin. Mais autre temps autres mœurs, aujourd’hui nous sommes au 21ième siècle et la femme possède 50% des voies dans les décisions de couple et avec la force des années, elles ont fini par nous influencer, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soie, le monde évolue.

La L-U-C-I-D-I-T-É.

C’est que la gente féminine tente rentrer dans le crane des hommes depuis au moins 40 ans. Et aujourd’hui nous le sommes de plus en plus...


Lucide-Mobile

Ces petites bêtes pullulent nous rues de nos jours, je n’ai absolument rien contre mais ne me dites pas que l’achat de ce genre de véhicule sa fait sur un élan de passion. Économique! fiable! Brun? Mais quelle bonne idée, c’est une couleur qui ne se salie pas !...et la valeur de revente est tellement bonne!

Chaque fois que j’entend un gars me répété cette petite charade tellement lucide, je ne peux m’empêcher de penser qu’il s’est fait convaincre par la force des choses...

Et l’instinct male alors? La lucidité typiquement féminine ne peux pas la tenir en laisse très longtemps!

Vrai! Que fait-on alors pour concéder un peu d’impulsivité masculine dans un automobile typiquement fémino-lucide?

Simple! Prenez la même voiture, ajouter y un volant gainé de cuir, des roues en aluminium et des petites bavettes sur les pare-choc et vous obtiendrez la très impulsive (sic) Corolla S


Corolla S.

Bon, voilà ce n’est pas un éditorial sur l’automobile moderne, a vrai dire, les voiture moderne, je m’en fou pas mal, elle font ce qu’elles doivent faire docilement, sans déranger personne, alors soit.

Mais gardez cette idée de lucidité en tête

Quand vient à l’achat d’une automobile neuve, le ¾ de notre décision se fait en se basant sur les chiffres.

Quel est sa puissance? Son couple? Son volume cargo? Sa garantie? Son prix?

Nous prenons ensuite ses chiffres et nous faisons notre propre match comparatif afin de nous faire une idée dans le but de faire le meilleur choix possible...et le maigre ¼ de cette décision de fait avec un test sur route.

Vous comprenez donc, qu’il est plus avantageux pour un manufacturiers de fournir une panoplie de chiffres lucide plutôt qu’une automobile vraiment intéressante.

Mais les chiffres, on peux le faire dire n’importe quoi! Surtout lorsque l’on laisse les manufacturiers nous fournir LEURS propres chiffres.

J’ai un employeur soucieux de l’environnement et pour mes déplacements relié a mon travail, pendant deux mois, on m’a fournit une rutilante Toyota Prius, le summum de la lucidité automobile!
Même si je me mettais dans les souliers (ou plutôt sandales) d’une envrironementaliste-famillio-lucido-végétarino, l‘expérience sur la consommation d’essence et le rendement du moteur électrique/essence a vite éclipsé les chiffres miraculeux donné par Toyota et l‘EPA!

EPA est l’agence de protection de l’environnement américaine, celui-ci teste chaque véhicule vendu en Amérique afin d’y déterminé sa consommation d’essence moyenne. Des test fait sur un dynamomètre dans un environnement fermée et BANG! On obtiens des chiffres miraculeux et très exotico-erectile pour un environnementaliste tel que 4.5 Litres aux 100 km! Autant comprendre que les manufacturiers pensent a la consommation d’essence de leurs moteurs bien sur! Mais simplement pour qu’ils y paraissent bien sur le dynamomètre de l’EPA pour ensuite obtenir le chiffre magique pour satisfaire la femme lucide en vous!

A Suivre.

Economy Run.

Partie II.



Retournons a une époque moins lucide voulez-vous? A une époque ou les voitures s’affrontaient sur la piste et non sur papier.



Il est faux de croire qu’avant la crise du pétrole de 1973, la consommation d’essence d’une automobile n’était pas un facteur important.



En fait, cela a toujours été un défi d’ingénierie de construire des moteurs de plus en plus endurants et économiques.



Les premiers clubs automobile majeurs tels que l‘USAC et l‘AAA ont toujours essayer de montrer leur juste a ces membres et vers le début des années 30 on commença les premières économy run.



Le but est simple, faire rouler une voiture le plus longtemps, dans toutes les conditions normale d’utilisation afin d’y mesurer son endurance et consommation d’essence. Après la deuxième guerre mondiale, une de ces compétitions en fut l’une des plus importante en Amérique après le Indy 500, Daytonna et la Carrera Panaméricana, la ; Mobil Gas Economy run.



Une traversé aux cotes a cotes de l’Amérique, afin de mesurer la consommation d’essence de chaque véhicule dans toutes les conditions routières possible en Amérique.



Il n’y avait pas qu’en NASCAR que les manufacturiers automobile étaient soucieux de bien paraitre et les résultats des Economy Run étaient un facteur de ventre aussi percutante qu’une victoire a Daytonna.



Nous somme a une époque ou il y a trois grands constructeurs a Detroit, mais il y a aussi d’autres plus petit tels que NASH, Kaiser et Studebaker qui essaient de repenser l’automobile dans un optique un peu plus avant-gardiste que ces traditionnelles et conservatrices grandes sœurs.



Biensur, General Motros, FoMoCo et Chrysler Co voulaient leur part du gâteaux, mais leur produit n’était pas vraiment adapté pour ce genre de compétition, alors pourquoi ne pas se la jouer comme en NASCAR, c’est a dire ; Triché en douce.


Une Lincoln de La Carrera Panamericana aux coté d’une Lincoln de l’Economy Run démontre toute l’importance de ces deux formes de compétition d’endurance automobile.

Erreur, bien que les grosses compagnie on débarqué avec leur armée de chauffeurs spécialement entrainé pour conduire de façon plus économique possible, les clubs automobile ne voulaient pas se laissé berné comme en NASCAR.



Les voitures doivent être acheté neuve par le club automobile, ensuite, elles passent un inspection complète, on enlève ensuite le réservoir a essence pour y en installer un spécialement préparé pour calculer la consommation. Les capot son ensuite scellé pour prévenir toute modification. Mais on ne s’arrête pas la, les clubs automobile placent un officiel dans CHAQUES voiture affin de tenir tout ce beau monde a l’œil.



Des voitures tels que la Nash Rambler et la Studebaker Lark remportèrent facilement les victoires. Assez pour affoler les trois grands qui piquèrent des crises a l’organisation du mobil gas economy run.

Pression oblige, on banni Studebaker et Nash de ces compétitions pour les placer dans leurs classes a part.

Vers le début des 60’s détroit présenta enfin des petites voitures lucides qui offraient une véritable compétition.



La dernière economy run fut présenté en 1968. Déjà a cette époque, les manufacturiers n’étaient plus vraiment intéressé d’affronter leurs voiture totalement ‘stock’ dans toute forme de compétition.



Il est tellement plus facile et moins ravageur pour les manufacturiers de s’affronter sur papier avec des chiffres.




La conception d’un véhicule n’est pas le seul facteur qui influe sur la consommation d’essence, mais l’acheteur préfère blâmer sa machine plutôt que ses mauvaise habitudes de conduite et d’entretient

Les États-Unis est un pays tout en excès, et il se trouve qu’il est moins habile sur papier que ses principaux compétiteurs de l’est de globe qui sont des champions du Zen et d’origami.


Compétition d’endurance dans les rues de San Fransisco.

Si Detroit veut reconquérir les lucides américains, il devra commencer a remettre des voiture Stock sous forme de compétition.

FIN

premiére fois que j`attend parler de ça ``Economy Run`` , vraiment intéressant , mais pour ce qui est de ce que l`on entend et nous montre sur papier , cé bien vrai que cé faut , 10L/100 ces surement dans des conditions exeptionelle , allors que dans la vie de tous les jours , dans des conditions véritable , les statistiques sur papiers prennent le bord de la poubelle

pour moi tu peu toujour enlever 5-6 milles au gallon a sa représente la vérité , mais y a meme du monde qui réussisent a battre le millage sur la feuille j 'en connais une couple de meme tout se qu il ont est meilleur , si tu achete le meme globe que lui , ben son globe éclaire toujour un peu plus et dure plus longtemps

Tres intéressant

La dernière economy run fut présenté en 1968.

Je serait curieux de voir comment on donnait comme cote en 68 pour mon modèle ?

Voici un petit video publicitaire de Buick tourné lors de l'Economy Run de 1964

https://www.youtube.com/watch?v=GHtH9B_4Ujw

A mon avis, les Buick on commencer a etre vraiment compétitive lorsqu'ils ont remplacer le V8 ''Nailhead'' qui est réputé pour être l'un des plus glouton de son époque.