Pan-Am Connections.
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LAGELINOTTE
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Greaser
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Pan-Am Connections.
PAN-AM Connections
L'histoire est comme une grande toile, chaques sujets trace son petit bout, mais en fait, si on regarde de loin ; tout se relie et donne un tout.
Je suis un grand obscédé de La Carrera Panamericana et voici ne série d'articles qui vous donnerons une idée de la toile qui tisse l'histoire de l'automobile américaine.
Partie I - La Rose du Mexique.
À la fin des années 40, le Mexique est sur une lancé propère, la vente de produits manifacturés et de pétrole au pays alliées durant la guerre n'y sont pas étrangers...
Usine d'embouteillage Coke mexicaine.
Une ère moderne se dessine enfin pour se pays qui a connu misère et instabilités politiques depuis si longtemps.
Mexico ; la moderne.
Un pays et un économie prospère passe d'abord par un réseau de routes bien établi et le gouvernement à le projet ambitieux de relier et paver ses routes majeures pour en faire l'autoroute Pan-Américaine.
Quoi de mieux pour fêter cette réussite et de mettre le Mexico moderne sous les projecteurs que de tenir un rallye d'envergure internationale traversant le coeurs du pays du nord au Sud.
En 1950, La Carrera Panamericana est née.
2178 miles, 5 jours, en neuf étapes, de la frontière du Texas jusqu'à celle du Guatémala. Les règles sont simples ; les voitures doivent demeuré ''stock'' avec seulement quelques altérations permises tels que la suspension renforcie et les grand reservoirs à essences (certaines étapes étaient longues, prafois plus de 300 miles!) La récompense ? 17 000 $ US. (Pour vous situer un peu, le prix d'une Olds 88 neuve en 1950 est de 2 000$)
Penser que des berlines américaines puissent se mesurer aux voitures de toursimes européenes sur des routes sinueuses à haute vitesse peut sembler une idée ridicule, mais en fait ; du points de vu automobile, les deux contient ne se connaissent très peu. Les américains préfèrant courir sur leur propre continent, personne ne peut vraiment dire comme ces berlines vont se comporter face à la concurence exotique.
L'Europe mise plutôt sur ses tenors en envoyant des gros noms sur des voitures tels que Alfa Romeo, Talbot, Jaguard, Hotchkiss et Delahaye.
132 voitures seront inscrite a cette premère Carrera.
La participation de cette première Carrera Panamericana demeure largement Américaine et Mexicaine, mais avec une faible minorité de pilotes professionnels, mais plutôt une bande de ''cow-boy'' se composant de chauffeurs de taxi, camioneur, riches exentriques et ''moonshiners''.
Talbot-Lago 1947 prennant le départ d'une étape.
On peut s'attendre avec un tel amalgame de pilotes et de voitures, les rebondissements seraient au rendez-vous, mais ce n'est pas les pilotes qui épiceront le spectacle.
Le pied toujours au planché, les Cadillac équipé du nouveau V8 OHV sont les berlines les plus rapide des Etats-Unis, avec un maximum enregistré de 95 mph.
Le Mexique en soit est une vrai torture en soit, le desert, la ville, les montagnes et le jungle et une épreuve cruelle pour les voiture, mixez ce cocktail avec des routes construite sans aucune notion de sécurité routière en fait de la Carrera Panamericana la compétition automobile la plus dangeureuse du monde! Après seulement le deuxième jours de compétition, 20 voitures sont hors d'état de courir.
Des routes tortueuses, pavé aléatoirement, pratiquement jamais munies de barrières de sécurité.
Les sorties de routes et pannes mécanique sont fréquente, La Carrera Panaméricana se révèle le test ultime pour determiné quel est la meilleur voiture ''Stock'' au monde!
Herschel McGriff, un pilote de 22 ans, s'allie a deux partenaires commerciaux et prennent toutes leurs économies pour faire l'aquisition d'une Oldsmobile 88 flanbanc neuve! Ayant peu de moyens, la voiture traversera de leurs Oregon natale pour se rendre au Mexique afin de participer a La Carrera Panamericana.
McGriff et son Oldsmobile 88.
McGriff qui ne possède, ni les ressources, ni les compentences ou les outils pour être de taille face à la compétition opte pour la prudence et demeure constent sans trop pousser la voiture.
McGriff affirmera que la seule mécanique qu'il dût effectuer durant toute cette épreuve sera de simples changement de freins et de pneus.
Le pari de McGriff s'avère bon, puisque durant la dernière étape, le gouvernement Mexicain à omis de dire que son autouroute Pan-américaine n'est pas ''vraiment'' terminé et elle n'est paver sur toute sa longeur. Il s'agit plutot de simples chemins parcemés grosses roches volcaniques, causan de nombreuses sorties de routes et bris de pneumatiques.
Cadillac affrontant une série de virages.
Blessures et fatalités, La Carrera Panamericana à toujours eu sont lot de tragédies.
McGriff sur une section non-pavé de La Carrera Panamericana.
Une Hotchkiss traversant les paysage pitoresque du Mexique.
C'est alors McGriff qui remportera la première édition de La Carrera Panamericana, avec peu de moyens et du courage.
En tout, seulement 47 des 132 voitures ont ''survécu'' a cette première édition, le reste du podium sera partagé par deux Cadillac 1950. L'Alfa Romeo du pilote de Piero Tarufi terminera quatrième, soit 21 minutes derrière McGriff!
Les espoir Europeens repartiront bredouilles 1950, mais ils préparent leurs vengeance!
Hershel McGriff et son Co-Pilote Ray Elliot.
Et McGriff?
On peut voir son nom refaire surfance en stock car pendant une bonne partie des 60's et 70's, il est notament reconnu pour être le plus vieux pilote a avoir remporté une course NASCAR à l'age de 68 ans (en 1988). D'ailleur, il n'a jamais racrocher son volant, il est l'un des plus vieux pilote actif, aujourd'hui agé de 82 ans.
Mais les amateurs de produits Chrysler connaissent surtout McGriff pour avoir piloté la fameuse Dodge Charger Olympia Express au 24 heures du Mans de 1976 ;
Partant en 47 position, McGriff dût abandonné suite a une panne mécanique.
À suivre pour la prochaine Pan-Am connection.
L'histoire est comme une grande toile, chaques sujets trace son petit bout, mais en fait, si on regarde de loin ; tout se relie et donne un tout.
Je suis un grand obscédé de La Carrera Panamericana et voici ne série d'articles qui vous donnerons une idée de la toile qui tisse l'histoire de l'automobile américaine.
Partie I - La Rose du Mexique.
À la fin des années 40, le Mexique est sur une lancé propère, la vente de produits manifacturés et de pétrole au pays alliées durant la guerre n'y sont pas étrangers...
Usine d'embouteillage Coke mexicaine.
Une ère moderne se dessine enfin pour se pays qui a connu misère et instabilités politiques depuis si longtemps.
Mexico ; la moderne.
Un pays et un économie prospère passe d'abord par un réseau de routes bien établi et le gouvernement à le projet ambitieux de relier et paver ses routes majeures pour en faire l'autoroute Pan-Américaine.
Quoi de mieux pour fêter cette réussite et de mettre le Mexico moderne sous les projecteurs que de tenir un rallye d'envergure internationale traversant le coeurs du pays du nord au Sud.
En 1950, La Carrera Panamericana est née.
2178 miles, 5 jours, en neuf étapes, de la frontière du Texas jusqu'à celle du Guatémala. Les règles sont simples ; les voitures doivent demeuré ''stock'' avec seulement quelques altérations permises tels que la suspension renforcie et les grand reservoirs à essences (certaines étapes étaient longues, prafois plus de 300 miles!) La récompense ? 17 000 $ US. (Pour vous situer un peu, le prix d'une Olds 88 neuve en 1950 est de 2 000$)
Penser que des berlines américaines puissent se mesurer aux voitures de toursimes européenes sur des routes sinueuses à haute vitesse peut sembler une idée ridicule, mais en fait ; du points de vu automobile, les deux contient ne se connaissent très peu. Les américains préfèrant courir sur leur propre continent, personne ne peut vraiment dire comme ces berlines vont se comporter face à la concurence exotique.
L'Europe mise plutôt sur ses tenors en envoyant des gros noms sur des voitures tels que Alfa Romeo, Talbot, Jaguard, Hotchkiss et Delahaye.
132 voitures seront inscrite a cette premère Carrera.
La participation de cette première Carrera Panamericana demeure largement Américaine et Mexicaine, mais avec une faible minorité de pilotes professionnels, mais plutôt une bande de ''cow-boy'' se composant de chauffeurs de taxi, camioneur, riches exentriques et ''moonshiners''.
Talbot-Lago 1947 prennant le départ d'une étape.
On peut s'attendre avec un tel amalgame de pilotes et de voitures, les rebondissements seraient au rendez-vous, mais ce n'est pas les pilotes qui épiceront le spectacle.
Le pied toujours au planché, les Cadillac équipé du nouveau V8 OHV sont les berlines les plus rapide des Etats-Unis, avec un maximum enregistré de 95 mph.
Le Mexique en soit est une vrai torture en soit, le desert, la ville, les montagnes et le jungle et une épreuve cruelle pour les voiture, mixez ce cocktail avec des routes construite sans aucune notion de sécurité routière en fait de la Carrera Panamericana la compétition automobile la plus dangeureuse du monde! Après seulement le deuxième jours de compétition, 20 voitures sont hors d'état de courir.
Des routes tortueuses, pavé aléatoirement, pratiquement jamais munies de barrières de sécurité.
Les sorties de routes et pannes mécanique sont fréquente, La Carrera Panaméricana se révèle le test ultime pour determiné quel est la meilleur voiture ''Stock'' au monde!
Herschel McGriff, un pilote de 22 ans, s'allie a deux partenaires commerciaux et prennent toutes leurs économies pour faire l'aquisition d'une Oldsmobile 88 flanbanc neuve! Ayant peu de moyens, la voiture traversera de leurs Oregon natale pour se rendre au Mexique afin de participer a La Carrera Panamericana.
McGriff et son Oldsmobile 88.
McGriff qui ne possède, ni les ressources, ni les compentences ou les outils pour être de taille face à la compétition opte pour la prudence et demeure constent sans trop pousser la voiture.
McGriff affirmera que la seule mécanique qu'il dût effectuer durant toute cette épreuve sera de simples changement de freins et de pneus.
Le pari de McGriff s'avère bon, puisque durant la dernière étape, le gouvernement Mexicain à omis de dire que son autouroute Pan-américaine n'est pas ''vraiment'' terminé et elle n'est paver sur toute sa longeur. Il s'agit plutot de simples chemins parcemés grosses roches volcaniques, causan de nombreuses sorties de routes et bris de pneumatiques.
Cadillac affrontant une série de virages.
Blessures et fatalités, La Carrera Panamericana à toujours eu sont lot de tragédies.
McGriff sur une section non-pavé de La Carrera Panamericana.
Une Hotchkiss traversant les paysage pitoresque du Mexique.
C'est alors McGriff qui remportera la première édition de La Carrera Panamericana, avec peu de moyens et du courage.
En tout, seulement 47 des 132 voitures ont ''survécu'' a cette première édition, le reste du podium sera partagé par deux Cadillac 1950. L'Alfa Romeo du pilote de Piero Tarufi terminera quatrième, soit 21 minutes derrière McGriff!
Les espoir Europeens repartiront bredouilles 1950, mais ils préparent leurs vengeance!
Hershel McGriff et son Co-Pilote Ray Elliot.
Et McGriff?
On peut voir son nom refaire surfance en stock car pendant une bonne partie des 60's et 70's, il est notament reconnu pour être le plus vieux pilote a avoir remporté une course NASCAR à l'age de 68 ans (en 1988). D'ailleur, il n'a jamais racrocher son volant, il est l'un des plus vieux pilote actif, aujourd'hui agé de 82 ans.
Mais les amateurs de produits Chrysler connaissent surtout McGriff pour avoir piloté la fameuse Dodge Charger Olympia Express au 24 heures du Mans de 1976 ;
Partant en 47 position, McGriff dût abandonné suite a une panne mécanique.
À suivre pour la prochaine Pan-Am connection.
Greaser- Kustom Kemper
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Voiture(s) : Buick Super 1958 4dr ht
Re: Pan-Am Connections.
Merci et bravo pour ce texte ! Vivement la suite !
ADM- Administrateur
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Re: Pan-Am Connections.
Oh merci toi....que ça me manquait tes récits...et quel sujet extraordinaire..
vivement la suite...
Réjean
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S'il pleuvait des arbres, peut-être pourrions nous permettre des coupes a blanc.....
LAGELINOTTE- Maniaque
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Voiture(s) : Grand National 1987...Vendu...Sniff, Sniff
Re: Pan-Am Connections.
superbe
289/67- Mordu
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Voiture(s) : Mustang 67 Hardtop
Re: Pan-Am Connections.
Comment j'ai fait pour manqué ça Très intèressant et bien imagé
J'attend la suite
J'attend la suite
Mr.Gasser- Vrai de vrai
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Re: Pan-Am Connections.
encore une fois greaser tu frappe dans le mille
moi j ai decouvert le pamamerica en cherchant sur les buick
https://www.youtube.com/watch?v=zAP6YUHxpxM&feature=related
mais il n a pas que buick dans la vie
https://www.youtube.com/watch?v=dPTpeRR1utA&feature=related
moi j ai decouvert le pamamerica en cherchant sur les buick
https://www.youtube.com/watch?v=zAP6YUHxpxM&feature=related
mais il n a pas que buick dans la vie
https://www.youtube.com/watch?v=dPTpeRR1utA&feature=related
Invité- Invité
Re: Pan-Am Connections.
Ça fait un bout que tu avais pas écris mais c'était pour revenir tout en beauté Toujours aussi intéressant tes textes
Dans la suite j'imagine quelques photos de Lincoln dans la Pan-America !
Dans la suite j'imagine quelques photos de Lincoln dans la Pan-America !
Dom- Bâtisseur
- Ville/Région : Rive-Sud de Montréal
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Date d'inscription : 23/04/2005
Voiture(s) : Trans Am 77, Mustang GT 09, Focus 07
Re: Pan-Am Connections.
La version de Smokey
Partie I
Smokey Yunnick fût probablement le mécanicien le plus respecté en amérique, l'homme lui même étant une légende.
Smokey Yunnick.
À la fin de la deuxième guerre modiale, Henry ''Smokey'' Yunnick s'établis en Floride, devenu héros de guerre, lui qui avait mené a bien plus de 50 sorties au dessus de l'europe aux commandes de son B-17.
Il ouvrit un petit garage de quartier dans la ville ensoleilé de Daytona en 1947 ...sans vraiment savoir que cette ville devindrai, après Indianapolis, la deuxième capitale du sport motorisé en amérique.
Daytona vers la fin des années 50.
C'est gràce a Yunnick que Chevrolet décrochera sa première victoire en NASCAR en 1955 à Daytona Beach.
On reconnais surtout Yunnick à son énorme capacité d'innové (et de tricher) lorsqu'il s'agit de la prépartion des voitures.
Fireball Robert et Smokey Yunnick. Pontiac changera radicalement d'image à la fin des années 50 et Yunnick contribura largement à cette transformation en préparant plusieurs de ces voitures très dominantes sur les gros ovals durant la période 1959 à 1963.
Une facade de Yunnick que l'on ne connais pas, c'est qu'il a participé à la Carrera Panaméricana de 1952.
Faisont un petit retour vers cette époque ;
On peut penser que les grosses têtes chez Olds et General Motors jubileraient devant la supprematie de la 88 de McGriff lors de cepremier rallye d'envergure international tenue en amérique...et bien non!
McGriff soutiendra qu'après sa victoire à La Carrera Panamericana, personne de chez GM est entré en contact avec lui...Il eu bien quelques coup de pouces de concessionnaires locaux afin de pousser sa carrière de pilote de stock car, mais rien vennant vraiment de la maison mère de Lansing.
Pourquoi? Parce que la 88 de olds volait déjà la veddette sur les piste de stock car, les gens chez General Motors pensait que la victoire était un phénomène naturelle issue de la supériorité de rendement du ''Rocket''.
Le fait est que Olds n'avaient aucune difficulté a vendre ses 88. En vérité, celles-ci partaient comme des petits peins chauds et les usines arrivaient à peine a fournir à la demande, alors pourquoi investir dans une telle publicité?
Ce comportement frisant l'arrogance ne se voyait pas chez toutes les marques et investir dans la course automobile semblait être un moyen profitable de convaincre un public des prouesses d'un véhicule.
Marshall Teague
Marshall Teague était un pilote très charismatique qui réussit à convaincre les dirigeant de Hudson de le supporter dans sa carrière en Stock Car, en retour, il promettais que ses victoires donnerai plus de visibilité a leur produit et que les ventes seraien meilleurs!
La carrosserie monocoque des Hudson avait un net avantage de poids, de centre de gravité et de rigidité sur les produit Ford, Chrysler et GM qui vendait des voitures a carrosserie montés sur des chassis.
Le reste de l'histoire et bien connu, Hudson demeura un figure dominante en NASCAR jusqu'en 1954.
Teague deviendra champion NASCAR en 1951, lui, qui par hasard avait confié la prépartion de ses voitures à un jeune mécano débutant en sport automobile, Smokey Yunnick.
Pour 1952, Yunnick et Teague avaient le support inconditionnel d'Hudson. Cet effort consolidé fera naître l'ajoût de l'option Twin-H power, considant d'un admission d'air suplémentaire par le capot (hood scoop) et de deux carburateurs faisant monté la puissance du six cylindre en ligne 308 pc de 145 hp à 170 hp. Un deuxième groupe d'option naîtra par la suite; le 7X, rendant le conduite et la suspension ''heavy duty'' mais surtout, montant la puissance a 210 hp!
À cette époque, les moteur en ligne n'étaient pas encore totalement dépassés, le groupe d'option 7X rendait la Hornet plus puissante que les plus puissant V8, soit le Hemi de Chrysler à 180 Hp et le V8 Cadillac à 190 hp.
Vue en coupe d'une Hornet équipé du Twin-H.
Le pilotage de Teague, la prépartion de la voiture par Yunnick et le developpement poussé des voitures endossé par Hudson rendait la Hornet quasiment intouchable. Teague savait qu'il détenais un as dans sa manche permettant de lui assuré la suprématie sur touts les circuits.
C'est pourquoi, en 1952, sa ''Fabulous Hudson Hornet'' fût inscrite pour participer au championat NASCAR, AAA et l'infàme ; Carrera Panaméricana.....
À suivre pour la partie II de cette connection.
Partie I
Smokey Yunnick fût probablement le mécanicien le plus respecté en amérique, l'homme lui même étant une légende.
Smokey Yunnick.
À la fin de la deuxième guerre modiale, Henry ''Smokey'' Yunnick s'établis en Floride, devenu héros de guerre, lui qui avait mené a bien plus de 50 sorties au dessus de l'europe aux commandes de son B-17.
Il ouvrit un petit garage de quartier dans la ville ensoleilé de Daytona en 1947 ...sans vraiment savoir que cette ville devindrai, après Indianapolis, la deuxième capitale du sport motorisé en amérique.
Daytona vers la fin des années 50.
C'est gràce a Yunnick que Chevrolet décrochera sa première victoire en NASCAR en 1955 à Daytona Beach.
On reconnais surtout Yunnick à son énorme capacité d'innové (et de tricher) lorsqu'il s'agit de la prépartion des voitures.
Fireball Robert et Smokey Yunnick. Pontiac changera radicalement d'image à la fin des années 50 et Yunnick contribura largement à cette transformation en préparant plusieurs de ces voitures très dominantes sur les gros ovals durant la période 1959 à 1963.
Une facade de Yunnick que l'on ne connais pas, c'est qu'il a participé à la Carrera Panaméricana de 1952.
Faisont un petit retour vers cette époque ;
On peut penser que les grosses têtes chez Olds et General Motors jubileraient devant la supprematie de la 88 de McGriff lors de cepremier rallye d'envergure international tenue en amérique...et bien non!
McGriff soutiendra qu'après sa victoire à La Carrera Panamericana, personne de chez GM est entré en contact avec lui...Il eu bien quelques coup de pouces de concessionnaires locaux afin de pousser sa carrière de pilote de stock car, mais rien vennant vraiment de la maison mère de Lansing.
Pourquoi? Parce que la 88 de olds volait déjà la veddette sur les piste de stock car, les gens chez General Motors pensait que la victoire était un phénomène naturelle issue de la supériorité de rendement du ''Rocket''.
Le fait est que Olds n'avaient aucune difficulté a vendre ses 88. En vérité, celles-ci partaient comme des petits peins chauds et les usines arrivaient à peine a fournir à la demande, alors pourquoi investir dans une telle publicité?
Ce comportement frisant l'arrogance ne se voyait pas chez toutes les marques et investir dans la course automobile semblait être un moyen profitable de convaincre un public des prouesses d'un véhicule.
Marshall Teague
Marshall Teague était un pilote très charismatique qui réussit à convaincre les dirigeant de Hudson de le supporter dans sa carrière en Stock Car, en retour, il promettais que ses victoires donnerai plus de visibilité a leur produit et que les ventes seraien meilleurs!
La carrosserie monocoque des Hudson avait un net avantage de poids, de centre de gravité et de rigidité sur les produit Ford, Chrysler et GM qui vendait des voitures a carrosserie montés sur des chassis.
Le reste de l'histoire et bien connu, Hudson demeura un figure dominante en NASCAR jusqu'en 1954.
Teague deviendra champion NASCAR en 1951, lui, qui par hasard avait confié la prépartion de ses voitures à un jeune mécano débutant en sport automobile, Smokey Yunnick.
Pour 1952, Yunnick et Teague avaient le support inconditionnel d'Hudson. Cet effort consolidé fera naître l'ajoût de l'option Twin-H power, considant d'un admission d'air suplémentaire par le capot (hood scoop) et de deux carburateurs faisant monté la puissance du six cylindre en ligne 308 pc de 145 hp à 170 hp. Un deuxième groupe d'option naîtra par la suite; le 7X, rendant le conduite et la suspension ''heavy duty'' mais surtout, montant la puissance a 210 hp!
À cette époque, les moteur en ligne n'étaient pas encore totalement dépassés, le groupe d'option 7X rendait la Hornet plus puissante que les plus puissant V8, soit le Hemi de Chrysler à 180 Hp et le V8 Cadillac à 190 hp.
Vue en coupe d'une Hornet équipé du Twin-H.
Le pilotage de Teague, la prépartion de la voiture par Yunnick et le developpement poussé des voitures endossé par Hudson rendait la Hornet quasiment intouchable. Teague savait qu'il détenais un as dans sa manche permettant de lui assuré la suprématie sur touts les circuits.
C'est pourquoi, en 1952, sa ''Fabulous Hudson Hornet'' fût inscrite pour participer au championat NASCAR, AAA et l'infàme ; Carrera Panaméricana.....
À suivre pour la partie II de cette connection.
Greaser- Kustom Kemper
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Voiture(s) : Buick Super 1958 4dr ht
Re: Pan-Am Connections.
J'ai pas mal hâte de voir la suite, les Hudson des années début 50 sont vraiment réussis
Dom- Bâtisseur
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Re: Pan-Am Connections.
Ca c'est du sujet, j'attends la suite avec impatience
Vinces- Maniaque
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Re: Pan-Am Connections.
C'est un détail insignifiant mais ce que j'aime de Smokey Yunnick c'est la couleur de ses voitures black and gold comme les Trans Am
Dom- Bâtisseur
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Voiture(s) : Trans Am 77, Mustang GT 09, Focus 07
Re: Pan-Am Connections.
Salutation ,
quelques Hudson en action 1951.
Michel........
quelques Hudson en action 1951.
Michel........
_______________________________________________
omc351- Vétéran
- Ville/Région : lasalle
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Voiture(s) : Ford 1954
Re: Pan-Am Connections.
Salutation,
1952 , des Hudson en action,
Michel.......
1952 , des Hudson en action,
Michel.......
_______________________________________________
omc351- Vétéran
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Voiture(s) : Ford 1954
Re: Pan-Am Connections.
La Version de Smokey
Partie II
Dans son auto-biographie, Smokey Yunick consacre quelques pages sur sa participation à La Carrera Panamericana de 1952.
C'est un jeune Smokey Yunick posant devant un ''Flat six'' un moteur Hudson peut être?
Ce que Smokey dit de cette course ? ;
''...Cette course aurait dût être commandité par l'association Mexicaine des embaumeur''.
Vennant d'un homme, qui durant la deuxième guerre mondiale, à vu la mort en face plus d'une fois, c'est tout dire. Déjà à sa troisième édition cette competition avait déjà la réputation d'être une faiseuse de veuve!
En '52 le concept d'un ''Factory Team'', n'est pas le même qu'aujourd'hui, en fait, Marshall Teague a simplement demander au dirigeant d'Hudson la permission d'ammener Yunick et son Hornet courrir au Mexique.
Hudson donna sa bénédiction et un chèque de 5000$ pour les dépenses ; C'est ca le support d'un manifacturier en 1952.
Trois voitures, une Hudson trirant la Faboulous Hudson Hornet sur un ''Dolley'' et une seconde voiture transportant en remorque pneus et pièces quitteront la Floride en direction du Mexique. La route s'annonce longue, en effet le trajet ne se fait plus d'un Nord au Sud, mais bien du Sud au Nord, ce qui fait que les épuipes doivent d'abord traverser le Mexique sur sa longeur avant de prendre le départ à Tuxtla, tout près de la frontière du Guatémala.
La visibilité de Hudson en NASCAR ne deumerait qu'au nivau nationnal, mais si la Hornet pouvait bien réussir à La Carrera, sa visibilité atteindrait un niveau International.
Selon Yunick, cette simple traversé touristique du Mexique est un vrai danger, des routes non complété (avec même des ponts manquants!), des segments frolant les ravins et le circulation suicidaire de Mexico City.
La version de Yunick est intéressente, parce qu'elle raconte surtout ce qui se passe en coulisse de la Carrera Panamericana, des nuits blanchea de préparation sur la voitures, des prostitués et du whisky pas cher...
Après chaque étape, les équipes doivent rejoindre les voitures et pilote, le plus souvent leur traversé doit s'effectuer de soir ou de nuit, Yunnick raconte que lui et son équipe durent faire face aux ''Banditos'' plus d'une fois sur leur route, rendant parfois leurs trajets en véritable course à la bootleger; défoncer les barrage, éviter les balles et faucher des malfrats au passage avec la Hornet si possible, c'est comme ca au Mexique.
Inutile d'aviser les forces de l'ordre, souvent elles-mêmes impliqués dans ce ''Racket''.
Les moeurs ne sont pas les même qu'en amérique du nord, l'armée, qui garde les abords des routes, tirent a vue sur les animaux et spectateurs qui tentent de traversé la route lors de la tenue des ''étapes''.
Si on devait re-faire la Carrera Panamericana aujourd'hui, qu'est ce que Smokey Yunick en dirait ? ;
''... Il serait plus simple de prendre un paquet de pilote et les faire jouer à la roulettes russes.''
Yunick connu une brillante carrière, touchant à peu près a n'importe équipé d'un moteur, à essence ou non, il est responsable de plusieurs brevets d'invention aujourd'hui directement lié à l'automobile et la course, tel que l'assitance à la direction variable et les murets de constitués de pneus usagé le long des circuits.
Smokey Yunick à Indianapolis au début des années 60, notez le design peu conventionnel.
Et Teague dans tout ca?
Lui et sa Hudson terminèrent au 13 ième rang.
Cette Carrera Panamericana couta cher à Teague, puisque Bill France en NASCAR gardait jalousement ses pilotes, les défendants de courrir dans touts type de courses extérieur que son organisation.
Il fût banni de NASCAR et disparu des projecteurs en courant dans des associations de Stock car moins prestigieuses, en USAC et en AAA. Il mourru en '59 en tentant de battre le record de vitesse au tour sur le circuit d'Indianapolis.
Teague à Indianapolis, 1957.
Et maintenant, qu'est ce que le NASCAR peut bien avoir avec La Carrera Panamericana?
À Suivre pour une prochaine connection.
Partie II
Dans son auto-biographie, Smokey Yunick consacre quelques pages sur sa participation à La Carrera Panamericana de 1952.
C'est un jeune Smokey Yunick posant devant un ''Flat six'' un moteur Hudson peut être?
Ce que Smokey dit de cette course ? ;
''...Cette course aurait dût être commandité par l'association Mexicaine des embaumeur''.
Vennant d'un homme, qui durant la deuxième guerre mondiale, à vu la mort en face plus d'une fois, c'est tout dire. Déjà à sa troisième édition cette competition avait déjà la réputation d'être une faiseuse de veuve!
En '52 le concept d'un ''Factory Team'', n'est pas le même qu'aujourd'hui, en fait, Marshall Teague a simplement demander au dirigeant d'Hudson la permission d'ammener Yunick et son Hornet courrir au Mexique.
Hudson donna sa bénédiction et un chèque de 5000$ pour les dépenses ; C'est ca le support d'un manifacturier en 1952.
Trois voitures, une Hudson trirant la Faboulous Hudson Hornet sur un ''Dolley'' et une seconde voiture transportant en remorque pneus et pièces quitteront la Floride en direction du Mexique. La route s'annonce longue, en effet le trajet ne se fait plus d'un Nord au Sud, mais bien du Sud au Nord, ce qui fait que les épuipes doivent d'abord traverser le Mexique sur sa longeur avant de prendre le départ à Tuxtla, tout près de la frontière du Guatémala.
La visibilité de Hudson en NASCAR ne deumerait qu'au nivau nationnal, mais si la Hornet pouvait bien réussir à La Carrera, sa visibilité atteindrait un niveau International.
Selon Yunick, cette simple traversé touristique du Mexique est un vrai danger, des routes non complété (avec même des ponts manquants!), des segments frolant les ravins et le circulation suicidaire de Mexico City.
La version de Yunick est intéressente, parce qu'elle raconte surtout ce qui se passe en coulisse de la Carrera Panamericana, des nuits blanchea de préparation sur la voitures, des prostitués et du whisky pas cher...
Après chaque étape, les équipes doivent rejoindre les voitures et pilote, le plus souvent leur traversé doit s'effectuer de soir ou de nuit, Yunnick raconte que lui et son équipe durent faire face aux ''Banditos'' plus d'une fois sur leur route, rendant parfois leurs trajets en véritable course à la bootleger; défoncer les barrage, éviter les balles et faucher des malfrats au passage avec la Hornet si possible, c'est comme ca au Mexique.
Inutile d'aviser les forces de l'ordre, souvent elles-mêmes impliqués dans ce ''Racket''.
Les moeurs ne sont pas les même qu'en amérique du nord, l'armée, qui garde les abords des routes, tirent a vue sur les animaux et spectateurs qui tentent de traversé la route lors de la tenue des ''étapes''.
Si on devait re-faire la Carrera Panamericana aujourd'hui, qu'est ce que Smokey Yunick en dirait ? ;
''... Il serait plus simple de prendre un paquet de pilote et les faire jouer à la roulettes russes.''
Yunick connu une brillante carrière, touchant à peu près a n'importe équipé d'un moteur, à essence ou non, il est responsable de plusieurs brevets d'invention aujourd'hui directement lié à l'automobile et la course, tel que l'assitance à la direction variable et les murets de constitués de pneus usagé le long des circuits.
Smokey Yunick à Indianapolis au début des années 60, notez le design peu conventionnel.
Et Teague dans tout ca?
Lui et sa Hudson terminèrent au 13 ième rang.
Cette Carrera Panamericana couta cher à Teague, puisque Bill France en NASCAR gardait jalousement ses pilotes, les défendants de courrir dans touts type de courses extérieur que son organisation.
Il fût banni de NASCAR et disparu des projecteurs en courant dans des associations de Stock car moins prestigieuses, en USAC et en AAA. Il mourru en '59 en tentant de battre le record de vitesse au tour sur le circuit d'Indianapolis.
Teague à Indianapolis, 1957.
Et maintenant, qu'est ce que le NASCAR peut bien avoir avec La Carrera Panamericana?
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Greaser- Kustom Kemper
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Re: Pan-Am Connections.
Greaser a écrit:[b]Les moeurs ne sont pas les même qu'en amérique du nord, l'armée, qui garde les abords des routes, tirent a vue sur les animaux et spectateurs qui tentent de traversé la route lors de la tenue des ''étapes''.
Le Mexique est en Amérique du nord mais j'ai bien compris ce que tu voulais dire
Bravo et comme d'habitude j'ai hâte de lire la suite
Ces Hudson son vraiment réussis
Dom- Bâtisseur
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Re: Pan-Am Connections.
Tu as bien raison Dom!
L'amérique centrale débute au Guatemala.
Greaser- Kustom Kemper
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