Ford GT40
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Ford GT40
La GT40 démontre que, lorsqu'un constructeur de la taille de Ford décide de s'attaquer sérieusement a la course automobile, le succès est directement proportionnel aux moyens mis en œuvre. Les premières GT40 de 1964 étaient rapides mais d'une fiabilité douteuse et, en 1965, les Ford subirent au Mans un affront que Ferrari dut se hâter de gouter : des 1966, Ford avait résolu les problèmes principaux, et la Mk II de Mclaren-Amon remporta les 24 Heures. Une Mk IV 7 litres gagna l'année suivante, puis les GT40 «privées» complétèrent ce solide palmarès manceau en 1968 et 1969. La voiture montrée ici est l'une de ces voitures victorieuses en 1968 et 1969.
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Ci-dessous : La GT40 victorieuse au Mans en 1968 aux mains de Pedro Rodriguez et Lucien BianchiCi-dessous : En 1968, les GT40 de Jon Wyer représentent officieusement l'usineCi-dessous : La voiture de Ken Miles-Denny Hulme en route vers la deuxième place, au Mans, en 1966.Ci-dessous : Le nom de la GT40 évoque une hauteur de 40 pouces. La forme primitive évolua grâce a des essais en soufflerie, afin d'obtenir plus de forces d'appui et davantage de vitesse de pointe.Ci-dessous : Au début de son développement, la GT40 souffrait d'un défaut aérodynamique a grande vitesse, problème qui fut définitivement résolu en 1966. L'une des qualités majeures de la GT40 était sa grande robustesse, qui s'avéra déterminante dans les épreuves d'endurance. En Médaillon : En 1969, le Mans connut l'arrivée la plus spectaculaire de l'histoire des 24 Heures : c'est dans le dernier tour que la GT40 no:6 de Ickx-Olivier dépassa une ultime fois la Porsche no:64 de Hermann-Larousse, pour gagner avec quelques mètres d'avance !Ci-dessous : Il y eut beaucoup de variations sur le thème de la GT40, comme cette Ford Mk IV de 1967, dont les profondes modifications étaient, outre le gros moteur 7 litres, d'ordre aérodynamique. Celle-ci, pilotée par Dan Gurney et «Ay-Jay» Foyt, est la gagnante du Mans en 1967. Ci-dessous : La première Lola GT dessinée par Eric Broadley subit l'épreuve de la ... rue, avant de faire ses débuts au Racing Car Show de Londres en 1963. Elle possède déjà toutes les caractéristiques de base de la GT40, y compris le moteur Ford V8 monté au centre et le châssis monocoque. Ci-dessous : Au Mans, en juin 1963, Attwood et Hobbs tournèrent pendant 15 heurs, avant qu'un accident mette fin a la course de la Lola GT. Ci-dessous : La GT40 ne fut pas seulement une redoutable machine de course : la version «client», animée par un moteur de 335 ch.pouvait être utilisée en toutes circonstances, ou presque !Ci-dessous : La Mk III se voulait d'abord une voiture civilisée, avec le levier de vitesses normalement placé au centre et le moteur ramené a 306 ch. Mais seuls 7 exemplaires trouvèrent preneur. Ci-dessous : Malgré un équipement plus complet et une présentation intérieure plus soignée, la GT40 «client» restait une automobile taillée pour la compétition, comme en témoignait notamment le levier de vitesse situé a droite du conducteur, contre la portière. Ci-dessous : La Mk IV était basée sur ce modèle, la GTP, ou Type J, dont la structure plus élaborée utilisait notamment des parties en nid d'abeilles d'aluminium. Ci-dessous : Pour l'essentiel, la rigidité de la GT40 résidait dans les imposants caissons latéraux, caractéristiques de la Lola GT, et dans le toit en acier formant arceau.Ci-dessous : L'ouverture du capot arrière dévoile les tubulures d'échappement passant au-dessus de l'ensemble boite-pont prolongeant le moteur. Ci-dessous : Différents moteurs Ford V8 furent utilisée pour propulser la GT40. Mais, si la gros 7-litres emprunté a la berline haut de gamme Galaxie animait les Mk IV, la grande majorité des voitures construites possédait le 4,7-litres dérivé du moteur de la gamme Fairlane.
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Ci-dessous : La GT40 victorieuse au Mans en 1968 aux mains de Pedro Rodriguez et Lucien BianchiCi-dessous : En 1968, les GT40 de Jon Wyer représentent officieusement l'usineCi-dessous : La voiture de Ken Miles-Denny Hulme en route vers la deuxième place, au Mans, en 1966.Ci-dessous : Le nom de la GT40 évoque une hauteur de 40 pouces. La forme primitive évolua grâce a des essais en soufflerie, afin d'obtenir plus de forces d'appui et davantage de vitesse de pointe.Ci-dessous : Au début de son développement, la GT40 souffrait d'un défaut aérodynamique a grande vitesse, problème qui fut définitivement résolu en 1966. L'une des qualités majeures de la GT40 était sa grande robustesse, qui s'avéra déterminante dans les épreuves d'endurance. En Médaillon : En 1969, le Mans connut l'arrivée la plus spectaculaire de l'histoire des 24 Heures : c'est dans le dernier tour que la GT40 no:6 de Ickx-Olivier dépassa une ultime fois la Porsche no:64 de Hermann-Larousse, pour gagner avec quelques mètres d'avance !Ci-dessous : Il y eut beaucoup de variations sur le thème de la GT40, comme cette Ford Mk IV de 1967, dont les profondes modifications étaient, outre le gros moteur 7 litres, d'ordre aérodynamique. Celle-ci, pilotée par Dan Gurney et «Ay-Jay» Foyt, est la gagnante du Mans en 1967. Ci-dessous : La première Lola GT dessinée par Eric Broadley subit l'épreuve de la ... rue, avant de faire ses débuts au Racing Car Show de Londres en 1963. Elle possède déjà toutes les caractéristiques de base de la GT40, y compris le moteur Ford V8 monté au centre et le châssis monocoque. Ci-dessous : Au Mans, en juin 1963, Attwood et Hobbs tournèrent pendant 15 heurs, avant qu'un accident mette fin a la course de la Lola GT. Ci-dessous : La GT40 ne fut pas seulement une redoutable machine de course : la version «client», animée par un moteur de 335 ch.pouvait être utilisée en toutes circonstances, ou presque !Ci-dessous : La Mk III se voulait d'abord une voiture civilisée, avec le levier de vitesses normalement placé au centre et le moteur ramené a 306 ch. Mais seuls 7 exemplaires trouvèrent preneur. Ci-dessous : Malgré un équipement plus complet et une présentation intérieure plus soignée, la GT40 «client» restait une automobile taillée pour la compétition, comme en témoignait notamment le levier de vitesse situé a droite du conducteur, contre la portière. Ci-dessous : La Mk IV était basée sur ce modèle, la GTP, ou Type J, dont la structure plus élaborée utilisait notamment des parties en nid d'abeilles d'aluminium. Ci-dessous : Pour l'essentiel, la rigidité de la GT40 résidait dans les imposants caissons latéraux, caractéristiques de la Lola GT, et dans le toit en acier formant arceau.Ci-dessous : L'ouverture du capot arrière dévoile les tubulures d'échappement passant au-dessus de l'ensemble boite-pont prolongeant le moteur. Ci-dessous : Différents moteurs Ford V8 furent utilisée pour propulser la GT40. Mais, si la gros 7-litres emprunté a la berline haut de gamme Galaxie animait les Mk IV, la grande majorité des voitures construites possédait le 4,7-litres dérivé du moteur de la gamme Fairlane.
Maniac- Régulier
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Date d'inscription : 18/10/2006
Re: Ford GT40
Haaaa le Ford GT 40 , une de ces voitures dont il existe plus de copie que de vraies !
comme par exemple celle-ci appartenant a un ami , dont la mécanique est un V6 PRV avec des trains roulants de Ford monter sur un châssis et une coque de Marcadier
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PIERRE 01- Légende
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