Article de muscle cars
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Article de muscle cars
Salut
Un article vu sur internet sur les muscle cars des années 60
Désolé,je ne suis pas capable de mettre les photos qui vont avec l'article,mais voici le lien
http://fr.autos.sympatico.msn.ca/Guides_et_conseils/article.aspx?cp-documentid=4394912
Les ‘Muscle Cars’ des années 60
Les constructeurs américains ont recommencé depuis peu à relancer la tradition des ‘Muscle cars’ avec de nouveaux modèles, mais voici les meilleures parmi les originales des années 60.
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Par Henry Biggs, MSN Cars UK
Au cours des dernières années, Détroit a décidé de raviver la flamme pour cette catégorie de voitures, une catégorie qui n’a pas existé bien longtemps mais dont les voitures sont devenues fameuses de par le monde grâce à des films comme ‘Point limite zéro’ et ‘Bullitt’, et aussi par leurs performances remarquables, du moins en ligne droite. C’est ainsi qu’on trouve les Dodge Charger, une nouvelle Pontiac GTO (non disponible au Canada), et des prototypes époustouflants comme les nouvelles Chevrolet Camaro et Dodge Challenger.
L’époque des voitures “musclées” n’a duré que huit ans, entre 1964 et 1972, mais elle a lancé une guerre de puissance qui a vu d’humble Chevrolet produire au-delà de 454 chevaux avec des moteurs V8 de 7,4 litres (454 po3). Selon le dicton américain, “rien de remplace des pouces-cubes”, Sympatico / MSN Autos vous présente les Muscle cars les plus célèbres de cet âge d’or de la performance à l’américaine.
Buick GS
Buick GS - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Comme la Pontiac GTO, la Gran Sport était une option à l’origine, en 1965, offerte sur l’une des voitures intermédiaires de Buick, la Skylark. Buick en vendit 16 000 exemplaires avant de proposer un tout nouveau V8 de 6,5 litres (400 po3) et d’en faire un modèle distinct, en version coupé et décapotable en 1967. La gamme était sujette à améliorations constantes et, comme toutes les voitures américaines, à des révisions esthétiques chaque année. La puissance aurait même atteint un plafond de 390 chevaux en 1968 mais les ingénieurs de Buick en auraient “seulement” déclaré 345 pour respecter les limites de puissance imposées par la maison-mère, GM. L’ultime GS a été produite en 1970, lorsque les restrictions ont été levées par GM, les ingénieurs se sont dépêchés de loger un moteur de 7,5 litres (455 po3) sous le capot, développant le couple monstrueux de 501 lb-pi et une puissance affichée de 400 chevaux. Avec l’ensemble aérodynamique GSX (disponible en jaune ou blanc seulement) et une suspension plus ferme, la GS était une formidable concurrente pour une marque qui n’était pas reconnue pour ses performances.
Chevrolet Camaro
Chevrolet Camaro - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Après avoir assisté au succès retentissant de la Ford Mustang, qui demeure à ce jour la voiture sport qui s’est la mieux vendue, GM a lancé une concurrente sur le marché sous la forme de la Camaro en 1967. Selon Chevrolet, le nom viendrait d’un mot d’argot français voulant dire “ami” (camarade?). Mais, Ford s’est empressé de souligner que Camaro était en fait le nom d’une crevette, ce à quoi les responsables des ventes de Chevrolet ont répliqué qu’il s’agissait “d’un petit animal vicieux qui mange des Mustang” Les modèles de base étaient équipé de moteurs à six cylindres en ligne plutôt anémiques mais, comme pour la Mustang, la liste d’options était longue. La plus intéressante de toutes était l’ensemble Z28, strictement pour les connaisseurs puisqu’elle n’apparaissait dans aucune brochure publicitaire. Elle proposait un moteur de 4,9 litres (302 po3), des freins à disque à l’avant, une direction assistée et une boîte manuelle à quatre rapports. Bien qu’il soit plus petit que celui de 6,5 litres (396 po3) offert dans la Camaro SS, celui de la Z28 avait été développé pour la course et produisait jusqu’à 400 chevaux. En 1969, Chevrolet avait interdit l’utilisation d’un moteur de plus de 6,6 litres (400 po3) dans la Camaro mais, prenant conscience qu’il y avait un marché pour des variantes de très hautes performances, a produit discrètement la version L-72 de ce moteur de 7,0 litres (427 po3) produisant 425 chevaux ainsi que la ZL-1, une voiture extrêmement rare, avec 600 chevaux de série.
Chevrolet Chevelle
Chevrolet Chevelle - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)La Pontiac GTO a pris Chevrolet par surprise en 1964 puisque le meilleur moteur offert dans la Chevelle développait à peine 275 chevaux. La situation fut corrigée l’année suivante avec le moteur de 6,5 litres (396 po3) développant 375 chevaux du modèle SS. Malheureusement, avec tout ce poids sur l’essieu avant, la tenue de route et le freinage de la voiture étaient atroces. Les choses se sont améliorées au cours des deux années suivantes grâce à des modifications de la suspension et l’ajout de freins à disque à l’avant. La gamme fut redessinée en 1968 et le meilleur moteur optionnel devenait disponible à partir de 1969, incluant la ‘voiture-camionnette’ El Camino. En 1970 arriva l’ultime Chevelle SS, la plus puissante des Muscle cars disponible avec son énorme V8 de 7.4 litres (454 po3) qui générait 450 chevaux et un couple de 500 lb-pi, capable de propulser la voiture à 100 km/h en six secondes. Malheureusement, l’année suivante, ce moteur n’est plus offert et toute la gamme voit sa puissance réduite pour fonctionner à l’essence sans plomb.
Dodge Challenger
Dodge Challenger - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Fameuse pour son rôle de vedette dans le célèbre film de voitures “Vanishing Point”, la Challenger transporte l’anti-héros Kowalski à travers le désert, carburant aux narcotiques, une aventure qui se termine dans une glorieuse explosion. Arrivé tard dans le groupe des Muscle cars, la Challenger n’a été lancée qu’en 1970 mais elle a connu un succès instantané, se vendant à plus de 80 000 exemplaires cette année-là. Elle était offerte avec une variété de moteurs, commençant par un six-cylindre en ligne poussif mais allant jusqu’à la version R/T (Road and Track) à moteur de 7,0 litres (426 po3) ‘Hemi’ développant 425 chevaux ou un moteur de 7,2 litres (440 po3) et 390 chevaux. Malheureusement, ces modèles n’ont existé que durant un peu plus d’un an et, en 1972, retombait à une puissance pathétique de 240 chevaux, avec la baisse de performance correspondante. Ce modèle a disparu en 1975, alors que cette catégorie n’était plus qu’un souvenir. DaimlerChrysler a dévoilé un prototype de Challenger au dernier salon de Détroit donc ce modèle pourrait renaître sous la forme d’une puissante propulsion en 2008.
Dodge Charger
Dodge Charger - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)La Charger fut une des voitures les plus reconnaissables du petit écran, surtout de couleur orange avec un drapeau confédéré sur le toit dans le rôle de la voiture préférée de Bo et Luke Duke pour échapper aux policiers du comté de Hazzard, dans la série ‘Shérif fais-moi peur’ (Dukes of Hazzard). Sans parler de la Charger noire que conduisaient les méchants dans le film ‘Bullitt’, qui comporte une des meilleures poursuites automobiles de l’histoire du cinéma. Lancée en 1966, la Charger copiait le toit profilé lancé par la Mustang et devenait un succès instantané, se vendant à plus de 37 000 exemplaires au cours de la première année. Elle était également très puissante dès le départ, offrant un moteur légendaire auprès des amateurs de courses de rues : un ‘Hemi’ de 7,0 litres (426 po3) avec une puissance officielle de 425 chevaux mais développant en réalité près de 500 chevaux. Avec ce moteur la Charger pouvait accélérer à 100 km/h en 5,5 secondes. La voiture fut redessinée en 1968 et devient plus élancée. Elle est également disponible avec le moteur de 7,2 litres (440 po3) en version R/T qui est moins puissante que le moteur ‘Hemi’ mais plus fiable comme en témoignent leurs garanties respectives : cinq ans et un an. Contrairement aux autres constructeurs, Chrysler a gardé l’idéal de performance aussi longtemps que possible et n’a pas réduit la puissance de ses moteurs avant 1972. Le moteur ‘Hemi’ est abandonné complètement plutôt qu’émasculé.
Ford Fairlane
Ford Fairlane - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)La Fairlane a été lancée en 1962 comme véhicule intermédiaire dans la gamme Ford. Elle utilisait un petit V8 de 4,2 litres (260 po3). Devant la popularité naissante des Muscle cars, Ford a redessiné sa Fairlane en 1966 pour accepter son gros V8 de 6,4 litres (390 po3) qui développait 335 chevaux dans la version GT. Décidant que ce n’était plus suffisant, Ford choisit alors une version domestiquée de son moteur NASCAR de 7,0 litres (427 po3) qui était bon pour 435 chevaux. Équipée d’un capot en fibre de verre, d’une suspension plus ferme et de freins à disque à l’avant, cette Fairlane pouvait atteindre 100 km/h en près de six secondes. Le modèle subit quelques modifications en 1968 et 1970, gagnant chaque fois en taille et en poids au détriment de la performance, malgré des moteurs produisant un couple de 450 lb-pi.
Oldsmobile 442
Oldsmobile 4-4-2 - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Suivant l’exemple de sa consœur Pontiac chez GM, Oldsmobile fut la seconde marque à offrir une intermédiaire équipée d’un moteur ultraperformant , dans son cas, un V8 de 6,5 litres (400 po3). Ce modèle était connu sous le vocable 4-4-2 pour son carburateur à quatre corps, sa boîte manuelle à quatre rapports et ses deux embouts d’échappements. L’ensemble incluait également des ressorts, des amortisseurs et des barres stabilisatrices plus fermes, ce qui lui valait la réputation d’être bonne en virages, contrairement à ses concurrentes spécialistes de la ligne droite. La 442 fut redessinée en 1968, devenant un élégant coupé par la même occasion. Elle obtint aussi un énorme moteur de 7,5 litres (455 po3), bon pour 390 chevaux, en 1970. La même année, hélas, General Motors décréta que tous ses moteurs devaient fonctionner à l’essence sans plomb, ce qui réduit la puissance de ce moteur à seulement 270 chevaux. L’heure de la fin approchait pour les ‘muscle cars’.
Plymouth Barracuda
Plymouth Barracuda - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Lancée quelques semaines avant la Mustang en 1964, la Barracuda était la première voiture à concurrencer la Ford. Contrairement à cette dernière, la Barracuda elle eut peu de succès, surtout parce qu’elle était plutôt fade. En fait, ce n’est qu’en 1970 que Plymouth renouvelé ses lignes et a mis de l’artillerie sérieuse sous le capot. Les modèles de performance étaient connus sous le nom Barracuda et les deux plus puissants offraient un moteur de 7.2 litres (440 po3) développant 390 chevaux ou le tonitruant moteur ‘Hemi’ de 7,0 litres (426 po3) développant 425 chevaux. Ces deux modèles bénéficiaient aussi de suspensions raffermies afin d’essayer de transmettre cette puissance à la route mais avaient la réputation d’être difficiles à conduire. Malheureusement, ils ne durèrent que quelques années et les autres moteurs de calibre semblables furent “civilisés” jusqu’à ce que le plus gros, un V8 de 5,6 litres (340 po3) ne produise plus que 240 chevaux. Le nom Barracuda disparut en 1974.
Plymouth Roadrunner
Plymouth Roadrunner - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)À partir de 1968, les Muscle cars s’éloignaient de leur idéal d’origine : de la performance à bas prix pour les masses. Elles devenaient de plus en plus grosses, lourdes et chères. Plymouth paya 50 000 $ à Warner Brothers pour le droit d’utiliser le nom et l’image de ce personnage de dessin animé sur une nouvelle voiture qui devait franchir le quart de mille en moins de 14 secondes et coûter moins de 4000 $ US. La machine était une version dénudée de la Belvedere, n’offrant même pas de tapis au plancher. Mais, sa suspension, ses freins et sa direction étaient améliorés et son moteur de base était un V8 de 6,3 litres (383 po3) bon pour 335 chevaux. Pour 714 $ de plus, Plymouth proposait son moteur ‘Hemi’ de 7,0 litres (426 po3) développant 425 chevaux et un couple de 490 lb-pi. La Roadrunner demeura dans la gamme jusqu’en 1975, mais la crise du pétrole et les normes anti-pollution avaient déjà émasculé cette catégorie.
Pontiac GTO
Pontiac GTO - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Le modèle qui lança la folie des Muscle cars fut conçu par un cadre du service de la publicité, Jim Wangers, et son ingénieur en chef, un certain John Z. DeLorean. En 1963, GM avait interdit à ses divisions de participer à la course automobile mais l’image et la publicité de Pontiac dépendaient largement de la performance. Wangers proposa donc d’utiliser le plus gros V8 de 6,3 litres (389 po3) du coupé Catalina dans le modèle intermédiaire Tempest afin d’obtenir une voiture abordable, de haute performance, qui plairait aux jeunes. DeLorean emprunta le nom GTO à la Ferrari 250 GTO (Gran Turismo Omologato), la plus grande sportive de l’époque. La série initiale de GTO comptait seulement 5000 exemplaires, à l’insistance des directeurs de ventes convaincus que ce modèle était voué à l’échec. En fait, la GTO se vendit à plus de 30 000 exemplaires durant la première année avant de devenir un modèle à part entière et non une option en 1966. Le magazine américain Car & Driver fit même un essai comparatif de la GTO et de la Ferrari 250 GTO. La Pontiac accélérait plus fort que la Ferrari mais n’avait évidemment aucune chance de la suivre sur un tour de circuit. L’ultime GTO fut le modèle “The Judge”, lancé en 1969 avec un V8 de 6.5 litres (400 po3) et des slogans publicitaires comme “Juge à vendre”…
Un article vu sur internet sur les muscle cars des années 60
Désolé,je ne suis pas capable de mettre les photos qui vont avec l'article,mais voici le lien
http://fr.autos.sympatico.msn.ca/Guides_et_conseils/article.aspx?cp-documentid=4394912
Les ‘Muscle Cars’ des années 60
Les constructeurs américains ont recommencé depuis peu à relancer la tradition des ‘Muscle cars’ avec de nouveaux modèles, mais voici les meilleures parmi les originales des années 60.
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Par Henry Biggs, MSN Cars UK
Au cours des dernières années, Détroit a décidé de raviver la flamme pour cette catégorie de voitures, une catégorie qui n’a pas existé bien longtemps mais dont les voitures sont devenues fameuses de par le monde grâce à des films comme ‘Point limite zéro’ et ‘Bullitt’, et aussi par leurs performances remarquables, du moins en ligne droite. C’est ainsi qu’on trouve les Dodge Charger, une nouvelle Pontiac GTO (non disponible au Canada), et des prototypes époustouflants comme les nouvelles Chevrolet Camaro et Dodge Challenger.
L’époque des voitures “musclées” n’a duré que huit ans, entre 1964 et 1972, mais elle a lancé une guerre de puissance qui a vu d’humble Chevrolet produire au-delà de 454 chevaux avec des moteurs V8 de 7,4 litres (454 po3). Selon le dicton américain, “rien de remplace des pouces-cubes”, Sympatico / MSN Autos vous présente les Muscle cars les plus célèbres de cet âge d’or de la performance à l’américaine.
Buick GS
Buick GS - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Comme la Pontiac GTO, la Gran Sport était une option à l’origine, en 1965, offerte sur l’une des voitures intermédiaires de Buick, la Skylark. Buick en vendit 16 000 exemplaires avant de proposer un tout nouveau V8 de 6,5 litres (400 po3) et d’en faire un modèle distinct, en version coupé et décapotable en 1967. La gamme était sujette à améliorations constantes et, comme toutes les voitures américaines, à des révisions esthétiques chaque année. La puissance aurait même atteint un plafond de 390 chevaux en 1968 mais les ingénieurs de Buick en auraient “seulement” déclaré 345 pour respecter les limites de puissance imposées par la maison-mère, GM. L’ultime GS a été produite en 1970, lorsque les restrictions ont été levées par GM, les ingénieurs se sont dépêchés de loger un moteur de 7,5 litres (455 po3) sous le capot, développant le couple monstrueux de 501 lb-pi et une puissance affichée de 400 chevaux. Avec l’ensemble aérodynamique GSX (disponible en jaune ou blanc seulement) et une suspension plus ferme, la GS était une formidable concurrente pour une marque qui n’était pas reconnue pour ses performances.
Chevrolet Camaro
Chevrolet Camaro - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Après avoir assisté au succès retentissant de la Ford Mustang, qui demeure à ce jour la voiture sport qui s’est la mieux vendue, GM a lancé une concurrente sur le marché sous la forme de la Camaro en 1967. Selon Chevrolet, le nom viendrait d’un mot d’argot français voulant dire “ami” (camarade?). Mais, Ford s’est empressé de souligner que Camaro était en fait le nom d’une crevette, ce à quoi les responsables des ventes de Chevrolet ont répliqué qu’il s’agissait “d’un petit animal vicieux qui mange des Mustang” Les modèles de base étaient équipé de moteurs à six cylindres en ligne plutôt anémiques mais, comme pour la Mustang, la liste d’options était longue. La plus intéressante de toutes était l’ensemble Z28, strictement pour les connaisseurs puisqu’elle n’apparaissait dans aucune brochure publicitaire. Elle proposait un moteur de 4,9 litres (302 po3), des freins à disque à l’avant, une direction assistée et une boîte manuelle à quatre rapports. Bien qu’il soit plus petit que celui de 6,5 litres (396 po3) offert dans la Camaro SS, celui de la Z28 avait été développé pour la course et produisait jusqu’à 400 chevaux. En 1969, Chevrolet avait interdit l’utilisation d’un moteur de plus de 6,6 litres (400 po3) dans la Camaro mais, prenant conscience qu’il y avait un marché pour des variantes de très hautes performances, a produit discrètement la version L-72 de ce moteur de 7,0 litres (427 po3) produisant 425 chevaux ainsi que la ZL-1, une voiture extrêmement rare, avec 600 chevaux de série.
Chevrolet Chevelle
Chevrolet Chevelle - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)La Pontiac GTO a pris Chevrolet par surprise en 1964 puisque le meilleur moteur offert dans la Chevelle développait à peine 275 chevaux. La situation fut corrigée l’année suivante avec le moteur de 6,5 litres (396 po3) développant 375 chevaux du modèle SS. Malheureusement, avec tout ce poids sur l’essieu avant, la tenue de route et le freinage de la voiture étaient atroces. Les choses se sont améliorées au cours des deux années suivantes grâce à des modifications de la suspension et l’ajout de freins à disque à l’avant. La gamme fut redessinée en 1968 et le meilleur moteur optionnel devenait disponible à partir de 1969, incluant la ‘voiture-camionnette’ El Camino. En 1970 arriva l’ultime Chevelle SS, la plus puissante des Muscle cars disponible avec son énorme V8 de 7.4 litres (454 po3) qui générait 450 chevaux et un couple de 500 lb-pi, capable de propulser la voiture à 100 km/h en six secondes. Malheureusement, l’année suivante, ce moteur n’est plus offert et toute la gamme voit sa puissance réduite pour fonctionner à l’essence sans plomb.
Dodge Challenger
Dodge Challenger - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Fameuse pour son rôle de vedette dans le célèbre film de voitures “Vanishing Point”, la Challenger transporte l’anti-héros Kowalski à travers le désert, carburant aux narcotiques, une aventure qui se termine dans une glorieuse explosion. Arrivé tard dans le groupe des Muscle cars, la Challenger n’a été lancée qu’en 1970 mais elle a connu un succès instantané, se vendant à plus de 80 000 exemplaires cette année-là. Elle était offerte avec une variété de moteurs, commençant par un six-cylindre en ligne poussif mais allant jusqu’à la version R/T (Road and Track) à moteur de 7,0 litres (426 po3) ‘Hemi’ développant 425 chevaux ou un moteur de 7,2 litres (440 po3) et 390 chevaux. Malheureusement, ces modèles n’ont existé que durant un peu plus d’un an et, en 1972, retombait à une puissance pathétique de 240 chevaux, avec la baisse de performance correspondante. Ce modèle a disparu en 1975, alors que cette catégorie n’était plus qu’un souvenir. DaimlerChrysler a dévoilé un prototype de Challenger au dernier salon de Détroit donc ce modèle pourrait renaître sous la forme d’une puissante propulsion en 2008.
Dodge Charger
Dodge Charger - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)La Charger fut une des voitures les plus reconnaissables du petit écran, surtout de couleur orange avec un drapeau confédéré sur le toit dans le rôle de la voiture préférée de Bo et Luke Duke pour échapper aux policiers du comté de Hazzard, dans la série ‘Shérif fais-moi peur’ (Dukes of Hazzard). Sans parler de la Charger noire que conduisaient les méchants dans le film ‘Bullitt’, qui comporte une des meilleures poursuites automobiles de l’histoire du cinéma. Lancée en 1966, la Charger copiait le toit profilé lancé par la Mustang et devenait un succès instantané, se vendant à plus de 37 000 exemplaires au cours de la première année. Elle était également très puissante dès le départ, offrant un moteur légendaire auprès des amateurs de courses de rues : un ‘Hemi’ de 7,0 litres (426 po3) avec une puissance officielle de 425 chevaux mais développant en réalité près de 500 chevaux. Avec ce moteur la Charger pouvait accélérer à 100 km/h en 5,5 secondes. La voiture fut redessinée en 1968 et devient plus élancée. Elle est également disponible avec le moteur de 7,2 litres (440 po3) en version R/T qui est moins puissante que le moteur ‘Hemi’ mais plus fiable comme en témoignent leurs garanties respectives : cinq ans et un an. Contrairement aux autres constructeurs, Chrysler a gardé l’idéal de performance aussi longtemps que possible et n’a pas réduit la puissance de ses moteurs avant 1972. Le moteur ‘Hemi’ est abandonné complètement plutôt qu’émasculé.
Ford Fairlane
Ford Fairlane - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)La Fairlane a été lancée en 1962 comme véhicule intermédiaire dans la gamme Ford. Elle utilisait un petit V8 de 4,2 litres (260 po3). Devant la popularité naissante des Muscle cars, Ford a redessiné sa Fairlane en 1966 pour accepter son gros V8 de 6,4 litres (390 po3) qui développait 335 chevaux dans la version GT. Décidant que ce n’était plus suffisant, Ford choisit alors une version domestiquée de son moteur NASCAR de 7,0 litres (427 po3) qui était bon pour 435 chevaux. Équipée d’un capot en fibre de verre, d’une suspension plus ferme et de freins à disque à l’avant, cette Fairlane pouvait atteindre 100 km/h en près de six secondes. Le modèle subit quelques modifications en 1968 et 1970, gagnant chaque fois en taille et en poids au détriment de la performance, malgré des moteurs produisant un couple de 450 lb-pi.
Oldsmobile 442
Oldsmobile 4-4-2 - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Suivant l’exemple de sa consœur Pontiac chez GM, Oldsmobile fut la seconde marque à offrir une intermédiaire équipée d’un moteur ultraperformant , dans son cas, un V8 de 6,5 litres (400 po3). Ce modèle était connu sous le vocable 4-4-2 pour son carburateur à quatre corps, sa boîte manuelle à quatre rapports et ses deux embouts d’échappements. L’ensemble incluait également des ressorts, des amortisseurs et des barres stabilisatrices plus fermes, ce qui lui valait la réputation d’être bonne en virages, contrairement à ses concurrentes spécialistes de la ligne droite. La 442 fut redessinée en 1968, devenant un élégant coupé par la même occasion. Elle obtint aussi un énorme moteur de 7,5 litres (455 po3), bon pour 390 chevaux, en 1970. La même année, hélas, General Motors décréta que tous ses moteurs devaient fonctionner à l’essence sans plomb, ce qui réduit la puissance de ce moteur à seulement 270 chevaux. L’heure de la fin approchait pour les ‘muscle cars’.
Plymouth Barracuda
Plymouth Barracuda - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Lancée quelques semaines avant la Mustang en 1964, la Barracuda était la première voiture à concurrencer la Ford. Contrairement à cette dernière, la Barracuda elle eut peu de succès, surtout parce qu’elle était plutôt fade. En fait, ce n’est qu’en 1970 que Plymouth renouvelé ses lignes et a mis de l’artillerie sérieuse sous le capot. Les modèles de performance étaient connus sous le nom Barracuda et les deux plus puissants offraient un moteur de 7.2 litres (440 po3) développant 390 chevaux ou le tonitruant moteur ‘Hemi’ de 7,0 litres (426 po3) développant 425 chevaux. Ces deux modèles bénéficiaient aussi de suspensions raffermies afin d’essayer de transmettre cette puissance à la route mais avaient la réputation d’être difficiles à conduire. Malheureusement, ils ne durèrent que quelques années et les autres moteurs de calibre semblables furent “civilisés” jusqu’à ce que le plus gros, un V8 de 5,6 litres (340 po3) ne produise plus que 240 chevaux. Le nom Barracuda disparut en 1974.
Plymouth Roadrunner
Plymouth Roadrunner - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)À partir de 1968, les Muscle cars s’éloignaient de leur idéal d’origine : de la performance à bas prix pour les masses. Elles devenaient de plus en plus grosses, lourdes et chères. Plymouth paya 50 000 $ à Warner Brothers pour le droit d’utiliser le nom et l’image de ce personnage de dessin animé sur une nouvelle voiture qui devait franchir le quart de mille en moins de 14 secondes et coûter moins de 4000 $ US. La machine était une version dénudée de la Belvedere, n’offrant même pas de tapis au plancher. Mais, sa suspension, ses freins et sa direction étaient améliorés et son moteur de base était un V8 de 6,3 litres (383 po3) bon pour 335 chevaux. Pour 714 $ de plus, Plymouth proposait son moteur ‘Hemi’ de 7,0 litres (426 po3) développant 425 chevaux et un couple de 490 lb-pi. La Roadrunner demeura dans la gamme jusqu’en 1975, mais la crise du pétrole et les normes anti-pollution avaient déjà émasculé cette catégorie.
Pontiac GTO
Pontiac GTO - Cliquez pour voir la galerie complète (photo: MSN Cars UK)Le modèle qui lança la folie des Muscle cars fut conçu par un cadre du service de la publicité, Jim Wangers, et son ingénieur en chef, un certain John Z. DeLorean. En 1963, GM avait interdit à ses divisions de participer à la course automobile mais l’image et la publicité de Pontiac dépendaient largement de la performance. Wangers proposa donc d’utiliser le plus gros V8 de 6,3 litres (389 po3) du coupé Catalina dans le modèle intermédiaire Tempest afin d’obtenir une voiture abordable, de haute performance, qui plairait aux jeunes. DeLorean emprunta le nom GTO à la Ferrari 250 GTO (Gran Turismo Omologato), la plus grande sportive de l’époque. La série initiale de GTO comptait seulement 5000 exemplaires, à l’insistance des directeurs de ventes convaincus que ce modèle était voué à l’échec. En fait, la GTO se vendit à plus de 30 000 exemplaires durant la première année avant de devenir un modèle à part entière et non une option en 1966. Le magazine américain Car & Driver fit même un essai comparatif de la GTO et de la Ferrari 250 GTO. La Pontiac accélérait plus fort que la Ferrari mais n’avait évidemment aucune chance de la suivre sur un tour de circuit. L’ultime GTO fut le modèle “The Judge”, lancé en 1969 avec un V8 de 6.5 litres (400 po3) et des slogans publicitaires comme “Juge à vendre”…
custom53- Vrai de vrai
- Ville/Région : mourréal
Nombre de messages : 2722
Date d'inscription : 12/05/2006
Voiture(s) : Ford Customline 1953(vendu) et Buick Lesabre convertible 1970
article muscle car
Merci pour tous ces renseignements, mon mari viens de s'acheter une camaro 67 en morceaux, je lis vos commentaires et articles sur le forum et je lui résume. C'est super de vous avoir.
On est nouveaux dans le muscle car.
On est nouveaux dans le muscle car.
Perro 67- Prospect
- Ville/Région : Sts-Anges Beauce
Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 01/06/2008
Re: Article de muscle cars
Salut et
Il ne faut pas se gêner quand il y a des questions ,ou bien des rensignement à demander .
Il ne faut pas se gêner quand il y a des questions ,ou bien des rensignement à demander .
custom53- Vrai de vrai
- Ville/Région : mourréal
Nombre de messages : 2722
Date d'inscription : 12/05/2006
Voiture(s) : Ford Customline 1953(vendu) et Buick Lesabre convertible 1970
Re: Article de muscle cars
cool l'article
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1969 big block chevelle
chevelleSS396- Vétéran
- Ville/Région : Saguenay
Nombre de messages : 1331
Date d'inscription : 12/10/2005
Voiture(s) : Chevelle 1969 396
Re: Article de muscle cars
moteur de 7,5 litres (455 po3) sous le capot, développant le couple monstrueux de 501 lb-pi et une puissance affichée de 400 chevaux.
petite erreur de frappe peu etre ces 510lb de torque et 360 hp pour un stage1 mais en realiter c etait plus 400 hp
Invité- Invité
Re: Article de muscle cars
En effet, un très bel article et en plus 10 voitures extraordinaires...
Moi j'ai un petit penchant pour les Charger, GSX, Fairlane et Camaro.......................................En fait, je les aimes toutes
Moi j'ai un petit penchant pour les Charger, GSX, Fairlane et Camaro.......................................En fait, je les aimes toutes
Invité- Invité
Re: Article de muscle cars
très bien l article...et surtout le petit paragraphe du charger héhéhé
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Propriétaire d'un LUXUEUX muscle car. Vive les B body
Nelson- Vrai de vrai
- Ville/Région : jonquiere
Nombre de messages : 4544
Date d'inscription : 21/08/2007
Voiture(s) : j'ai eu :Nova SS 74, challenger 73, 'cuda 74, Charger 68, Charger RT 69, mustang gt 91, mustang gt 92, mustang lx 5.0 87, mustang gt 2002, mustang mach 1 2003
Re: Article de muscle cars
C'est vrai , on a beau avoir des preferences pour certains models mais lorsqu'on les regarde bien , on s'appercoit qu'on les aime presque toutes .Domtruck a écrit:En effet, un très bel article et en plus 10 voitures extraordinaires...
Moi j'ai un petit penchant pour les Charger, GSX, Fairlane et Camaro.......................................En fait, je les aimes toutes
jeronimo- Régulier
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Voiture(s) : roadrunner 1970 six pack
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