Panneau d'arrêt jaune et noir en bois

From 1924 to 1954, stop signs were made with a black stop legend on a yellow field. In 1954, the sign gained its current white legend/red field color configuration. Red signifies stop on traffic signals,

reghoule a écrit:Il est bien conservé quand même T'as trouvé ça où?

reghoule a écrit:Si t'as une chance tu mettras des photos de tes autres panneaux, ca nous donnerait une idée de ce qu'avait l'air nos bords de route a l'époque.

reghoule a écrit:Tous des anciens numéros routes de nos jours y'en a pas en bas de 100 a part pour les autoroutes bien sûr.
Ca serait le fun de savoir a quelles routes actuelles ça correspond.

reghoule a écrit:Super et merci! Je trouvais rien sur le net a ce sujet que je trouve très intéressant.

soiouz a écrit:

reghoule a écrit:Super et merci! Je trouvais rien sur le net a ce sujet que je trouve très intéressant.

De rien!

D'ailleurs, les guides de la route du AAA, ils en publiaient chaque année et c'est une mine d'information pour ces années-là, si vous en voyez dans les marchés aux puces, je vous le conseille!

Il y a des dizaines de publicités de concessionnaires automobiles aussi là-dedans.

BigDan a écrit:a 60 ans je me souviens de ca moi .....



la 1 devenu la 132 , la 9 devenu la 116 .



me souviens plus de la 112 était ce la 3 ds le temps »? appel aux vieux !!!

BigDan a écrit:...
merde jaimerais ca trouver une vieille map du quebec des années 60 comme la tienne
...

BigDan a écrit:et oui la ca me revient la 3 sur le bord de l`eau



merde jaimerais ca trouver une vieille map du quebec des années 60 comme la tienne





pas sur mais la 1 était considéré comme transcanadienne je crois !

Entre 1929 et 1951, il y avait une seule voie carrossable sur le pont de Québec. Des opérateurs à chaque bout devait se parler avec un téléphone pour laisser passer les voitures dans un sens ou l’autre. Dès 1951, une voie de chemin de fer a été retranchée au profit d’une chaussée carrossable à 2 voies (maintenant configurée à 3 voies).

La route 2 (Montréal) débouchant sur la rue St-Vallier

Dans ces années, la route de Montréal (maintenant boulevard Hamel) ne traversait pas la rivière St-Charles pour se rendre dans Vanier. Elle se dirigeait plutôt vers la longue et étroite rue St-Vallier (à la hauteur du cimetière St-Charles). Québec-Ouest (Vanier) n’était que des champs agricoles. On décrit alors la rue St-Vallier dans le rapport comme la plus commercialisée et congestionnée de Québec. Si on observe bien, on peut constater que la quasi-totalité des immeubles qui bordent la rue St-Vallier a des vitres de commerces. Il faut s’imaginer qu’elle a déjà été beaucoup plus économiquement active qu’aujourd’hui. Heureusement, dès 1952, les voyageurs pouvaient l’éviter en empruntant le boulevard Saint-Sacrement. La trajectoire originale de la route de Montréal existe toujours sous le nom de la la rue des Ingénieurs

Se rendre au Saguenay par la 1re avenue

Les voyageurs du Saguenay provenant du nouveau boulevard Talbot et la route du Parc aboutissaient à l’extrémité nord de la 1re avenue. La route 54 (Henri-Bourassa) a été ouverte dans les années 30, mais elle fut prolongée vers le chemin de la Canardière seulement en 1952. Le gros du trafic automobile empruntait la 1re avenue jusqu’au pont Drouin (4e rue) ou Dorchester (3e avenue). Pouvez-vous vous imaginer le temps que ça pouvait prendre pour se rendre à Stoneham?

L’augmentation de la popularité de l’automobile au début du siècle a apporté bon nombre de problématiques à notre vieille ville mal adaptée à ces nouveaux et nombreux chars d’acier. En 1950, on dénombre 10 000 voitures dans la région métropolitaine de Québec. Ce nombre grimpe à 60 000 vers 1960. Les bouchons de circulation et les difficultés de se rendre à bon port font partie des préoccupations des citoyens de l’époque. En 1950, il n’existe aucun lien routier périphérique. Si un voyageur interurbain provient du Saguenay ou la côte de Beaupré, il doit emprunter les rues municipales pour se rendre au Pont de Québec. On rapporte de nombreux accidents puisque toute la circulation de transit devait emprunter les rues étroites de Québec. Ces mêmes rues étaient souvent des artères commerciales très achalandées. Dans le rapport Gréber, on explique qu’il n’existe aucun réseau logique et fonctionnel de voies de circulation dans la région.