HISTOIRE DE NASCAR
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
Ça me fait penser au début de l'hivers sur lespac il y avait un Grand Prix 1964 environ avec des roues à 6 studs, il était marqué dans l'annonce que c'était très rare.
Est ce le même traitement que pour les Chevy 57
Est ce le même traitement que pour les Chevy 57
Dom- Bâtisseur
- Ville/Région : Rive-Sud de Montréal
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Voiture(s) : Trans Am 77, Mustang GT 09, Focus 07
Re: HISTOIRE DE NASCAR
Salut Dom , j'ai pas vue l'annonce sur lespac mais ca devait être des 8 nuts sur le Grand Prix (8 lugs) , ils en ont fait de 62 à 67 ou 68
ADM- Administrateur
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
La roue tenait vraiment par les noix qu'on voie sur la photo ? Ça fait curieux à voir
Dom- Bâtisseur
- Ville/Région : Rive-Sud de Montréal
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Voiture(s) : Trans Am 77, Mustang GT 09, Focus 07
Re: HISTOIRE DE NASCAR
http://en.wikipedia.org/wiki/Pontiac_Catalina
Je me demande bien si toutes les roues "wide track" de pontiac (américains) de ces années la étaient pas toutes des 8 écrous
Je sais que traverser le frontière et faire adapter les roues wide track américaine sur les Pontiac Canadiens était une modification populaire chez les gars de drag canadien au début des 60's. Peut être le model de l'annonce avait été convertit en conséquence?
Je me demande bien si toutes les roues "wide track" de pontiac (américains) de ces années la étaient pas toutes des 8 écrous
Je sais que traverser le frontière et faire adapter les roues wide track américaine sur les Pontiac Canadiens était une modification populaire chez les gars de drag canadien au début des 60's. Peut être le model de l'annonce avait été convertit en conséquence?
Greaser- Kustom Kemper
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Voiture(s) : Buick Super 1958 4dr ht
Re: HISTOIRE DE NASCAR
PARTIE XIII
1958
Avec la diminution de la course à la puissance chez les trois grands, Ford change de tactique pour arracher différentes part du marché en 1958 et est le fabricant qui fera le plus parlé de lui pour l’année 1958.
La genereation des « Squarebirds » (1960)
D’abord, c’est la Thunderbird qui reçoit son « face lift », au plaisir des pères de familles qui peuvent maintenant profiter de quatre places assises et du plaisir de conduite du nouvel oiseau sacré de Ford. Ces nouvelles voitures qui ressemblent plus à un coupé deux portes ordinaire reçoivent vite le sobriquet de « Squarebirds » des amateurs de roadsters performants qui voient le model perdre leur intérêt envers cette nouvelle voiture..
T-Bird 1958
En fait, Ford n’avait jamais eu l’intention de construire une voiture sport au même titre que la corvette, les gens chez Ford avait simplement imaginé la voiture comme un « Personnal Car » luxueux a caractère sportif et continuaient sur cette ligné en apportant des changements à la mode sur la voiture. Et les changements seront au rendez-vous, bien que les dimension de la Thunderbird ressemblent à celles d’une voiture régulière, la construction de celle-ci pour 1958 est entièrement monocoque, une première pour le constructeur.
Ford 1958
https://www.youtube.com/watch?v=aGJo70asWtw
Pub Ford 1958
La Thunderbird s’avère être un bon coup, car elle gagne en popularité et les ventes dépasseront celles de 1957 ! Il est évident que Ford a bien prit soin de prêter à ses voitures des détails esthétique similaire a celui des « Squarebirds ». Pour les motorisations, Ford lance une nouvelle génération de moteurs, la famille FE(Ford-Edsel)laissant le « Y-Bloc » 292 pc de 290 hp comme V8 de base. Un V8 FE « Interceptor » de 352 pc sera offert de base sur les « Squarbirds » et optionnel sur les automobiles Ford, cette mécanique affichera 300 hp avec un carburateur quatre corps.
Edsel 1958
La compétition est féroce entre les marques et il devient difficile pour Ford de Combattre Chrysler et Général Motors qui ont plusieurs divisions pour les différents marchés/type d’acheteurs. Les voitures Mercury doivent combattre Olds, DeSoto, Chrsyler et Buick et bien souvent qu’autrement les Pontiac et Dodge bien équipés. Afin de mieux définir la place de Mercury et de maintenir les Lincoln au même niveau que Cadillac et Imperial, Ford crée Edsel. Cette nouvelle division qui porte le prénom du fils unique d’Henry Ford a été lancée dans le but de combattre les Oldsmobile Dodge et DeSoto dans le créneau des voitures au style à la mode et aux nombreux gadgets. Bien que dès leur lancement, le design des Edsel n’est pas apprécié du public, les mécaniques offerte par la division est intéressante, puisqu’elle est plus puissante que celle offert par les autres automobiles de sa catégorie.
Edsel en pré-production sur piste d’essaie
Transmission automatique à bouton « Télétouch » de Edsel, situé au centre du volant ne sera pas un gadget apprécié du public.
V8 de 410 pc MEL.
Un V8 FE de 361 pc sera offert, celui-ci développant 303 hp
Afin de donner une famille de motorisation à ses voitures plus luxueuse, Ford lance sa famille de V8 MEL (Mercury-Edsel-Lincoln) et un 410 pc de 345 hp sera disponible pour les Edsel bien équipés.
https://www.youtube.com/watch?v=b1KzPlZw4cg
Pub Edsel 1958
Mercury 1958
Mercury aborde l’année 1958 en apportant que des changements esthétiques mineurs à sa voiture, c’est bien normal, car celle-ci fait maintenant compétition avec des divisions plus luxueuses et conservatrices tels que Chrysler, DeSoto et Buick ou les clients aiment les voitures luxueuses, mais moins extravagantes que les Cadillac, Lincoln et Impérial. La mécanique n’en demeure pas moins poussée par contre, un V8 MEL de 383 pc donne aux Mercury 330 hp. Mais les acheteurs avertis cocheront l’option pour le V8 « Marauder » un V8 MEL de la taille colossale de 430 pc, avec un carburateur quatre corps ce V8 affiche les 360 hp. Mais les amateurs de performance irons plutôt pour l’option « Super Marauder » qui ajoute l’option de 3 carburateurs 2 corps établissant les chiffres décoiffant de 400 hp!
430 super marauder 1958.
Ce moteur est tout en couple (dans les 490 lbs/ft), sert surtout à bouger aisément les grosses Lincoln, mais donne des ailes aux Mercury, qui elles même pèsent près de 4 500 lbs.
Chrysler 300D.
Bien que plus puissante, la Mercury n’a jamais crée le même magnétisme que la Chrysler 300D. Le fabuleux 392pc « HEMI » de 380 HP est la recette miracle de 300D. L’alimentation en essence est effectuée encore par deux carburateurs quatre corps. Pour concurrencer Chevrolet Chrysler tentera elle aussi d’offrir l’injection mécanique/électrique sur les 300D, avec un système nommé « Electrojector » qui permet d’ajouter un 10 hp supplémentaire. Le système s’avérera encore moins fiable que celui offert par Rochester chez Chevrolet et Chrysler reconvertira a carburateur la quasi totalité des voitures munies de « L’electrojector ».
Le Foward Look a l"oeuvre.
Mais la vrai recette qui donne mène Chrysler au succès est le coup de Crayon du chef styliste Virgil Exner avec le « Foward Look ». Le style des voitures présenté par Chrysler et ses divisions est tellement en avance sur son temps que Chrysler n’apportera que des changements mineurs pour 1958. Chrysler a véritablement le vent dans les….ailes!
DeSoto 1958
DeSoto 1958, offrira aussi « l’electrojector » sur ses Adeventurer, mais celle-ci aussi seront pratiquement toutes reconverties, les models se retrouvant sur la rue seront celles équipé du V8 361 pc, 2 carburateurs quatre corps avec une puissance de 345hp.
https://www.youtube.com/watch?v=v9gb7JZm1Fc
Pub DeSoto 1958
Dodge 1958
Le meilleur de Dodge pour 1958 sera encore la D-500 qui sera en fait le même groupe mécanique que celui de la DeSoto Adventurer.
Plymouth 1958.
Plymtouh alimentera ses Fury d’un V8 de 318pc qui produiront dans les 290 hp lorsqu’équipé des deux carburateur quatre corps. Le model « Golden comando » fait toujours partie de la gamme. Cette fois-ci il s’agit d’un V8 de 350 pc, deux carburateurs quatre corps qui developpe 305 hp.
https://www.youtube.com/watch?v=yA1toGtNCDc
Pub Plymouth 1958
General Motors, 1908 - 1958.
https://www.youtube.com/watch?v=bFWVCvyQP9g
Publicite gamme GM 1958.
General Motors qui fête son 50ième anniversaire d’existence veut célébrer en grand et veut que le style de ses voitures soit à l’avant garde pour 1958. La pression est forte sur le chef designer Harley Earl qui tentera de donner le meilleur de lui-même pour le millésime `58.
L’Impala viendra déclasser les Bel-Air dans la sommet de la gamme Chevrolet.
Les dimension des Chevrolet devenant de plus en plus importante et l’utilisation d’un simple carburateur quatre corps en NASCAR complique un peu la vie a Chevrolet qui comme toute les divisions de GM cette année la avait prévu reconduire simplement le V8 283pc dans ses nouveau models. La meilleure solution de Chevrolet a été d’introduire son nouveau V8 de 348 pc.
V8 348 « W ».
Ce V8 était initialement prévu pour remplacer le 322 Buick qui prenait place dans les camions GMC / Chevrolet. Ses formes de têtes en W lui attirera le nom de « W Head ».
Bien que le V8 283pc avec les deux carburateur quatre corps (245 hp) et l’injection mécanique Rochester « Ramjet » (250 hp) qui trouveront surtout preneur dans les corvette, trop petites pour recevoir le 348pc. Celui-ci offre une puissance de base avec un carburateur quatre corps affiche lui aussi dans les 250 hp mais avec un couple plus grand. Une version 3 carburateurs 2 corps de 280 hp est aussi offerte en option.
Au cours de l’année 1958 Chevrolet retravaillera son 348 est offrira le « Police Special » qui permet d’atteindre les 315 hp avec un simple carburateur quatre corps. Pour les « Civils » les même chiffre peuvent être obtenues de ce nouveau moteur avec l’option des trois carburateurs.
Harley Earl mise sur deux divisions clé pour 1958, Oldsmobile qui lui permet les excès possibles en matière de design et Buick dont le design contemporain depuis les années 40 est carrément l’inspiration de Earl.
Buick 1958
Buick relancera la Limited, son model grand format et haut de gamme qui possède un luxe égal à une Cadillac, malgré ce virage prononcé vers les voitures de prestiges, Buick offre tout de même sa plus « petite » Century avec en option le même moteur qui se retrouve dans la Limited, soit une version haute compression du V8 364 pc « Nailhead » qui permet d’atteindre les 300 hp avec un carburateur quatre corps
Oldsmobile 1958
Oldsmobile, tout comme Buick, ne change pas ses mécaniques pour 1958, le 371pc est donc installé de série dans les 88 et 98. Avec le carburateur quatre corps, 305hp affiché et l’option J-2 qui comporte 3 carburateurs 2 corps est reconduits pour 1958 afin de permettre aux grosses Oldsmobile d’atteindre les 312 hp.
Pontiac 1958
Pontiac veut encore plus pousser son image de performance et se démarqué du look copié des Oldsmobile en 1956. Le résultat de ligne pour 1958 en font la berline au look et comportement le plus «sportif » offert par General Motors.
Un V8 de 370 pc sera l’unique moteur disponible chez la division (models Américains) avec des chiffres de puissance allant de 240 hp a 330 hp! Pontiac veut avoir un pas en avance en matière de performance sur les autres divisions de GM. Bien que depuis l’abolissement de l’AMA, Pontiac offre son 370 pc en plusieurs version dont des moteurs déjà préparé pour la course de haute compression à 3 carburateurs deux corps (330 hp), un avec une unité Fuel Injection Rochester (310 hp), mais la version qui intéressera les pilotes de NASCAR est la version du « moteur de course » équipé du carburateur 4 corps de 315 HP. En 1958 Pontiac sera la division de General Motors qui offre les moteurs les plus puissants, surclassé uniquement par la Cadillac Eldorado qui affiche les 335 hp.
Bien que plus aucun manufacturiers Nord américains ne s’implique dans la course automobile, les produits qu’il offre en 1958 ont des chiffres plus réservé mais ils sont plus réalistes car la plupart des options proposé se retrouveront réellement dans les voitures de rues. Le style opulent des voitures en matière de format et de quantité de chrome et de puissance semble infinie, mais l’année 1958 n’en sera pas une bonne pour l’automobile américaine. En fait le climat américain est instable et le monde subit une récession majeure.
Scène de rue en 1958. Les modèles de voitures neuves ne peuplaient pas les rues en 1958.
Les États-Unis qui semblaient vivre dans un rêve depuis le début des années 50 ont un dur retour à la réalité et avec le spectre d’une guerre nucléaire sous leur tête il semble que les Américains n’entendent plus à rire…
Abri nucléaire de maison. La propagation de la Paranoïa d’un holocauste nucléaire incite pousse les gens à être plus prudent avec leur argent.
On envoie Elvis à l’armée et on fait taire les DJ de Rock’n Roll à la radio avec le scandale de Payola. Les gens ont une vision plus « sérieuse » des choses et les voitures offertes par les manufacturiers ne cadrent pas avec cette réalité, le design de ces voitures est « trop », la magie de 1956 et 1957 semble bien loin. En fait la voiture qui augmentera le plus son chiffre de vente en 1958 est la Rambler!
Publicité Rambler 1958.
L’année de 1958 verra la fin de l’époque ou le style des voitures change radicalement d’une année a l’autre, les manufacturiers deviendront plus prudent dans le changement de style et l’utilisation massive de chrome, histoire de mieux suivre et garder leur « clientèle ».
Avec aucune implication dans la course automobile des manufacturiers, une situation économique difficile et un publique qui n’est pas nécessairement d’humeur à regarder des voitures tourner en rond sur une piste, qu’arrivera-t-il du NASCAR pour 1958?
Suite à venir….
1958
Avec la diminution de la course à la puissance chez les trois grands, Ford change de tactique pour arracher différentes part du marché en 1958 et est le fabricant qui fera le plus parlé de lui pour l’année 1958.
La genereation des « Squarebirds » (1960)
D’abord, c’est la Thunderbird qui reçoit son « face lift », au plaisir des pères de familles qui peuvent maintenant profiter de quatre places assises et du plaisir de conduite du nouvel oiseau sacré de Ford. Ces nouvelles voitures qui ressemblent plus à un coupé deux portes ordinaire reçoivent vite le sobriquet de « Squarebirds » des amateurs de roadsters performants qui voient le model perdre leur intérêt envers cette nouvelle voiture..
T-Bird 1958
En fait, Ford n’avait jamais eu l’intention de construire une voiture sport au même titre que la corvette, les gens chez Ford avait simplement imaginé la voiture comme un « Personnal Car » luxueux a caractère sportif et continuaient sur cette ligné en apportant des changements à la mode sur la voiture. Et les changements seront au rendez-vous, bien que les dimension de la Thunderbird ressemblent à celles d’une voiture régulière, la construction de celle-ci pour 1958 est entièrement monocoque, une première pour le constructeur.
Ford 1958
https://www.youtube.com/watch?v=aGJo70asWtw
Pub Ford 1958
La Thunderbird s’avère être un bon coup, car elle gagne en popularité et les ventes dépasseront celles de 1957 ! Il est évident que Ford a bien prit soin de prêter à ses voitures des détails esthétique similaire a celui des « Squarebirds ». Pour les motorisations, Ford lance une nouvelle génération de moteurs, la famille FE(Ford-Edsel)laissant le « Y-Bloc » 292 pc de 290 hp comme V8 de base. Un V8 FE « Interceptor » de 352 pc sera offert de base sur les « Squarbirds » et optionnel sur les automobiles Ford, cette mécanique affichera 300 hp avec un carburateur quatre corps.
Edsel 1958
La compétition est féroce entre les marques et il devient difficile pour Ford de Combattre Chrysler et Général Motors qui ont plusieurs divisions pour les différents marchés/type d’acheteurs. Les voitures Mercury doivent combattre Olds, DeSoto, Chrsyler et Buick et bien souvent qu’autrement les Pontiac et Dodge bien équipés. Afin de mieux définir la place de Mercury et de maintenir les Lincoln au même niveau que Cadillac et Imperial, Ford crée Edsel. Cette nouvelle division qui porte le prénom du fils unique d’Henry Ford a été lancée dans le but de combattre les Oldsmobile Dodge et DeSoto dans le créneau des voitures au style à la mode et aux nombreux gadgets. Bien que dès leur lancement, le design des Edsel n’est pas apprécié du public, les mécaniques offerte par la division est intéressante, puisqu’elle est plus puissante que celle offert par les autres automobiles de sa catégorie.
Edsel en pré-production sur piste d’essaie
Transmission automatique à bouton « Télétouch » de Edsel, situé au centre du volant ne sera pas un gadget apprécié du public.
V8 de 410 pc MEL.
Un V8 FE de 361 pc sera offert, celui-ci développant 303 hp
Afin de donner une famille de motorisation à ses voitures plus luxueuse, Ford lance sa famille de V8 MEL (Mercury-Edsel-Lincoln) et un 410 pc de 345 hp sera disponible pour les Edsel bien équipés.
https://www.youtube.com/watch?v=b1KzPlZw4cg
Pub Edsel 1958
Mercury 1958
Mercury aborde l’année 1958 en apportant que des changements esthétiques mineurs à sa voiture, c’est bien normal, car celle-ci fait maintenant compétition avec des divisions plus luxueuses et conservatrices tels que Chrysler, DeSoto et Buick ou les clients aiment les voitures luxueuses, mais moins extravagantes que les Cadillac, Lincoln et Impérial. La mécanique n’en demeure pas moins poussée par contre, un V8 MEL de 383 pc donne aux Mercury 330 hp. Mais les acheteurs avertis cocheront l’option pour le V8 « Marauder » un V8 MEL de la taille colossale de 430 pc, avec un carburateur quatre corps ce V8 affiche les 360 hp. Mais les amateurs de performance irons plutôt pour l’option « Super Marauder » qui ajoute l’option de 3 carburateurs 2 corps établissant les chiffres décoiffant de 400 hp!
430 super marauder 1958.
Ce moteur est tout en couple (dans les 490 lbs/ft), sert surtout à bouger aisément les grosses Lincoln, mais donne des ailes aux Mercury, qui elles même pèsent près de 4 500 lbs.
Chrysler 300D.
Bien que plus puissante, la Mercury n’a jamais crée le même magnétisme que la Chrysler 300D. Le fabuleux 392pc « HEMI » de 380 HP est la recette miracle de 300D. L’alimentation en essence est effectuée encore par deux carburateurs quatre corps. Pour concurrencer Chevrolet Chrysler tentera elle aussi d’offrir l’injection mécanique/électrique sur les 300D, avec un système nommé « Electrojector » qui permet d’ajouter un 10 hp supplémentaire. Le système s’avérera encore moins fiable que celui offert par Rochester chez Chevrolet et Chrysler reconvertira a carburateur la quasi totalité des voitures munies de « L’electrojector ».
Le Foward Look a l"oeuvre.
Mais la vrai recette qui donne mène Chrysler au succès est le coup de Crayon du chef styliste Virgil Exner avec le « Foward Look ». Le style des voitures présenté par Chrysler et ses divisions est tellement en avance sur son temps que Chrysler n’apportera que des changements mineurs pour 1958. Chrysler a véritablement le vent dans les….ailes!
DeSoto 1958
DeSoto 1958, offrira aussi « l’electrojector » sur ses Adeventurer, mais celle-ci aussi seront pratiquement toutes reconverties, les models se retrouvant sur la rue seront celles équipé du V8 361 pc, 2 carburateurs quatre corps avec une puissance de 345hp.
https://www.youtube.com/watch?v=v9gb7JZm1Fc
Pub DeSoto 1958
Dodge 1958
Le meilleur de Dodge pour 1958 sera encore la D-500 qui sera en fait le même groupe mécanique que celui de la DeSoto Adventurer.
Plymouth 1958.
Plymtouh alimentera ses Fury d’un V8 de 318pc qui produiront dans les 290 hp lorsqu’équipé des deux carburateur quatre corps. Le model « Golden comando » fait toujours partie de la gamme. Cette fois-ci il s’agit d’un V8 de 350 pc, deux carburateurs quatre corps qui developpe 305 hp.
https://www.youtube.com/watch?v=yA1toGtNCDc
Pub Plymouth 1958
General Motors, 1908 - 1958.
https://www.youtube.com/watch?v=bFWVCvyQP9g
Publicite gamme GM 1958.
General Motors qui fête son 50ième anniversaire d’existence veut célébrer en grand et veut que le style de ses voitures soit à l’avant garde pour 1958. La pression est forte sur le chef designer Harley Earl qui tentera de donner le meilleur de lui-même pour le millésime `58.
L’Impala viendra déclasser les Bel-Air dans la sommet de la gamme Chevrolet.
Les dimension des Chevrolet devenant de plus en plus importante et l’utilisation d’un simple carburateur quatre corps en NASCAR complique un peu la vie a Chevrolet qui comme toute les divisions de GM cette année la avait prévu reconduire simplement le V8 283pc dans ses nouveau models. La meilleure solution de Chevrolet a été d’introduire son nouveau V8 de 348 pc.
V8 348 « W ».
Ce V8 était initialement prévu pour remplacer le 322 Buick qui prenait place dans les camions GMC / Chevrolet. Ses formes de têtes en W lui attirera le nom de « W Head ».
Bien que le V8 283pc avec les deux carburateur quatre corps (245 hp) et l’injection mécanique Rochester « Ramjet » (250 hp) qui trouveront surtout preneur dans les corvette, trop petites pour recevoir le 348pc. Celui-ci offre une puissance de base avec un carburateur quatre corps affiche lui aussi dans les 250 hp mais avec un couple plus grand. Une version 3 carburateurs 2 corps de 280 hp est aussi offerte en option.
Au cours de l’année 1958 Chevrolet retravaillera son 348 est offrira le « Police Special » qui permet d’atteindre les 315 hp avec un simple carburateur quatre corps. Pour les « Civils » les même chiffre peuvent être obtenues de ce nouveau moteur avec l’option des trois carburateurs.
Harley Earl mise sur deux divisions clé pour 1958, Oldsmobile qui lui permet les excès possibles en matière de design et Buick dont le design contemporain depuis les années 40 est carrément l’inspiration de Earl.
Buick 1958
Buick relancera la Limited, son model grand format et haut de gamme qui possède un luxe égal à une Cadillac, malgré ce virage prononcé vers les voitures de prestiges, Buick offre tout de même sa plus « petite » Century avec en option le même moteur qui se retrouve dans la Limited, soit une version haute compression du V8 364 pc « Nailhead » qui permet d’atteindre les 300 hp avec un carburateur quatre corps
Oldsmobile 1958
Oldsmobile, tout comme Buick, ne change pas ses mécaniques pour 1958, le 371pc est donc installé de série dans les 88 et 98. Avec le carburateur quatre corps, 305hp affiché et l’option J-2 qui comporte 3 carburateurs 2 corps est reconduits pour 1958 afin de permettre aux grosses Oldsmobile d’atteindre les 312 hp.
Pontiac 1958
Pontiac veut encore plus pousser son image de performance et se démarqué du look copié des Oldsmobile en 1956. Le résultat de ligne pour 1958 en font la berline au look et comportement le plus «sportif » offert par General Motors.
Un V8 de 370 pc sera l’unique moteur disponible chez la division (models Américains) avec des chiffres de puissance allant de 240 hp a 330 hp! Pontiac veut avoir un pas en avance en matière de performance sur les autres divisions de GM. Bien que depuis l’abolissement de l’AMA, Pontiac offre son 370 pc en plusieurs version dont des moteurs déjà préparé pour la course de haute compression à 3 carburateurs deux corps (330 hp), un avec une unité Fuel Injection Rochester (310 hp), mais la version qui intéressera les pilotes de NASCAR est la version du « moteur de course » équipé du carburateur 4 corps de 315 HP. En 1958 Pontiac sera la division de General Motors qui offre les moteurs les plus puissants, surclassé uniquement par la Cadillac Eldorado qui affiche les 335 hp.
Bien que plus aucun manufacturiers Nord américains ne s’implique dans la course automobile, les produits qu’il offre en 1958 ont des chiffres plus réservé mais ils sont plus réalistes car la plupart des options proposé se retrouveront réellement dans les voitures de rues. Le style opulent des voitures en matière de format et de quantité de chrome et de puissance semble infinie, mais l’année 1958 n’en sera pas une bonne pour l’automobile américaine. En fait le climat américain est instable et le monde subit une récession majeure.
Scène de rue en 1958. Les modèles de voitures neuves ne peuplaient pas les rues en 1958.
Les États-Unis qui semblaient vivre dans un rêve depuis le début des années 50 ont un dur retour à la réalité et avec le spectre d’une guerre nucléaire sous leur tête il semble que les Américains n’entendent plus à rire…
Abri nucléaire de maison. La propagation de la Paranoïa d’un holocauste nucléaire incite pousse les gens à être plus prudent avec leur argent.
On envoie Elvis à l’armée et on fait taire les DJ de Rock’n Roll à la radio avec le scandale de Payola. Les gens ont une vision plus « sérieuse » des choses et les voitures offertes par les manufacturiers ne cadrent pas avec cette réalité, le design de ces voitures est « trop », la magie de 1956 et 1957 semble bien loin. En fait la voiture qui augmentera le plus son chiffre de vente en 1958 est la Rambler!
Publicité Rambler 1958.
L’année de 1958 verra la fin de l’époque ou le style des voitures change radicalement d’une année a l’autre, les manufacturiers deviendront plus prudent dans le changement de style et l’utilisation massive de chrome, histoire de mieux suivre et garder leur « clientèle ».
Avec aucune implication dans la course automobile des manufacturiers, une situation économique difficile et un publique qui n’est pas nécessairement d’humeur à regarder des voitures tourner en rond sur une piste, qu’arrivera-t-il du NASCAR pour 1958?
Suite à venir….
Greaser- Kustom Kemper
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Nascar
Salut Greaser.
Super je lis ca religieusement.
Full.
Super je lis ca religieusement.
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full throttle no bottle- Mécano
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Voiture(s) : Camaro 68, Firebird 68
Re: HISTOIRE DE NASCAR
Toujours aussi intéressant
Dom- Bâtisseur
- Ville/Région : Rive-Sud de Montréal
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
Je suis en mode attente mon grand....hahahahaha
Réjean (La Gélinotte)
_______________________________________________
S'il pleuvait des arbres, peut-être pourrions nous permettre des coupes a blanc.....
LAGELINOTTE- Maniaque
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
un vrai teleroman qui nous laisse en attente de semaine en semaine
Invité- Invité
Re: HISTOIRE DE NASCAR
très intéressant et aussi des superbes photos
j`ai toujours hâte de lire la suite
j`ai toujours hâte de lire la suite
glm76- Régulier
- Ville/Région : Quebec centre-ville
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Date d'inscription : 06/03/2006
Voiture(s) : Pontiac Grand Lemans 1976 Chevrolet Impala 2003
Re: HISTOIRE DE NASCAR
Partie XIV
1958 – Saison
La seule photo existante prouvant qu'une Edsel a déjà participé a une course de NASCAR
Lorsque les nouveaux models de voitures se retrouvèrent dans la salle de montre a l’automne 1957, certaines équipes firent l’acquisition de nouveau models, afin de les préparer le plus vite possible pour la course inaugurale de Daytona Beach qui aurait lieux en février.
Curtis Turner au volant d’une Ford 1958 Hooleman-Moody.
La résolution de l’AMA était bien respectée par les manufacturiers, notamment Chrysler qui n’avait pas « poussé » personne à utiliser ses produits pour la saison 1958 et cela a pu s’observer par l’absence quasi-totale de ses produits sur les pistes. Ford et Chevrolet, qui eux-même avait été les premiers à proposer la résolution furent ceux qui eurent le plus de difficulté à la respecter. Comme par magie, les concessionnaires Chevrolet qui étaient situés près des garages de certaines équipes NASCAR coursant ses produits avaient toujours une salle de montre et un comptoir de pièce bourré de produits destinés à la performance. Ford qui n’était pas près à laisser son ennemi juré voler les podiums s’en prit d’une autre façon, l’équipe Holeman-Moody eurent une mystérieuse donation d’une flotte complète de Ford ’58 flambant neuves, non pas du manufacturier, mais gracieuseté d’un regroupement de concessionnaires de la région de la Caroline du nord.
Buck Baker, champion de 1957, surtout reconnu comme pilote vedette du Chevrolet « factory team », se servit de la bourse de champion pour faire l’acquisition d’une Chevrolet Del-Ray 1958 équipé d’une « nouveau » 348 pc.
Buck Baker et sa Del-Ray 1958. Celui-ci ne tardera pas de remplacer celle-ci pour une Chevrolet 1957, aussi performante, plus rigide et légère et surtout plus économique à rouler.
Malheureusement, pas touts les pilotes eurent la chance d’avoir des voitures neuves, en fait la majorité des pelotons pour la saison 1958 sera constitué des voitures de 1956 et 1957.
La course en sera une excitante comme à l’habitude, Daytona Beach étant la course la plus convoité des pilotes, malgré des problèmes d’argent et une affluence de spectateurs un peu moindre, les pilotes sont toujours aussi gonflé à bloc.
Fireball Roberts faisant glisser les roues arrière de sa Buick Century.
Fireball Roberts tentera encore de récupérer la victoire qui lui a glissé entre les doigts en 1955. Il reprendra son partenariat avec Inland Buick/Fish Carburator afin de retrouver une combinaison victorieuse, Roberts qui était sans volant depuis que Ford a retirer son équipe du NASCAR.
Fish Carburator/Inland Buick Vs Holeman-Moody, sur cette ligne droite pavé du circuit ces deux voiture ont été enregistré filant à des vitesses constante au dessus de 120 mph!
Malheureusement pour Roberts, il ne pu que prendre la neuvième place de la course, ce fut la dernière course au Grand-National pour l’équipe Inland Buick /Fish Carburator.
Pontiac 1958, conduite par Paul Goldsmith
Smokey Yunnick et Paul Goldsmith forment encore un duo en 1958 avec une Pontiac qui offre des performances solides
Goldsmith réussi a tenir la tête malgrès la brume de la mer et des essuis glaces défectueux, sur cette photo, il frole la sortie de piste, faute de voir correctement le tracé.
Goldsmith remportera la course aux conditions difficile de 1958. Il disputera encore quelques course pour ensuite quitter NASCAR pour tenter sa chance en Indy. Smokey Yunnick gardera les couleurs noires et or sur ses voitures comme marque de commerce.
La Pontiac 1958, maintenant propriété de Smokey Yunnick, victorieuse à Daytona Beach.
Les Pontiac "neuve" sont maintenant dans les voitures les plus désirés des pilotes.
Pontiac est probablement la voiture « neuve » de 1958 qui su le mieux surpasser les produits qu’elle a présenté en 1957, pour les autres fabricants c’est un autre histoire…
La olds 1957 de Lee Petty.
En fait la majorité des pilotes préfèrent continuer a courser les models de 1957, pour des raisons économiques et surtout qu’une grande majorité de ses voitures avaient été mieux préparés, surtout les « ex-factory cars » tombé entre les mains d’équipes indépendantes. Le fait que l’écart des performances entre les voitures de 1957-1958 ne soit pas aussi significatif qu’entre celles de 1956-1957 et que les models de 1958 sont généralement plus lourd fait que les models de 1957 seront des voitures compétitives.
Fireball Roberts (Centre) et sa Chevrolet #22.
Fireball Roberts qui après la fin des Ford « factory team » et de l’essaie infructueux avec Inland Buick/Fish Carburator aura de sérieux problèmes de financement et ne pourra que participer à un faible pourcentage des courses au volant de sa Chevrolet ’57 # 22.
1958 voit apparaître une multitude de circuit ovale et pavé. Bien que le public et moins nombreux pour assister les courses en son très existantes et spectaculaires.
Les pelotons mixtes de voitures 1957-1958.
Les vitesses obtenues sur les ovals pavés commencent à se rapprocher très près de celle obtenues par les Indy qui sont pas mal plus « high tech » au niveau du freinage et de l’aérodynamisme et les voitures de production régulière commencent à avoir des problèmes à endurer de tels vitesses.
Les pneux aussi ont la vie dure et les « guard rails » étant pratiquement absents, lorsque les voitures décrochent celles-ci vont littéralement se faire éjecter des circuits pour aller s’écraser en dehors de la piste.
Les pilotes étant pour la plupart des « moonshine runners » habitués d’ajuster leurs voitures pour des conditions de glisse sur terre battue doivent faire face à une nouvelle réalité et s’ajusté avec des réglages sur ovales pavés.
Le pilote de cette Ford a survécu à l’accident et l’on a continué à disputer la course, demandant simplement au pilote de « lever le pied » lorsqu’ils arrivaient à la hauteur du trou béant fait dans la clôture de sécurité.
Plusieurs pilotes commencent à développer une véritable peur des circuits ovales à cause du niveau de risque qu’ils représentent. D’autres pilotes, sans peur, fonceront comme des kamikazes le pied au plancher le plus notable étant Fireball Foberts.
Fireball Roberts victorieux.
Roberts et sa Chevrolet ’57 ne participent presque uniquement aux courses disputées sur les « super-speedway » et sur ses circuits, Roberts et intouchables et un des favoris du public à cause de ses nerfs d’aciers. Sur les dix courses qu’il participera en 1958, Roberts en remportera six.
Fireball Roberts a vécu des hauts et des bas depuis 1955. Celui-ci aspire à des jours meilleurs pour la saison 1959.
NASCAR vit une saison difficile, les spectateurs n’affluent pas sur les circuits et beaucoup d’équipes et d’événement seront absentes pour la saison 1958. Bill France permettra donc aux circuits plus en difficultés de faire courir les convertibles avec les voitures régulières dans la même course, rendant ainsi les pelotons plus peuplés et sauvant sur les coûts.
Dans toute l’histoire du NASCAR les records d’impopularité de 1958 ne seront jamais égalés par la suite.
Le grand gagnant de la saison 1958 sera Lee Petty qui avec ses Oldsmobile 1957 (Convertible et sedan) assure des performances et présence constante tout au long du championnat. Au classement, un obscur jeune pilote du nom de Parnelli Jones figurera au 33ième rang.
Lee Petty en bagarre avec une convertible de Holeman-Moody.
Comment Bill France redressera-t-il la crise que subit le NASCAR en 1958? Avec l’abstinence de Détroit en course et une récession qui fait mal a l’industrie automobile, le défi s’annonce de taille pour France….
La suite, bientôt…
1958 – Saison
La seule photo existante prouvant qu'une Edsel a déjà participé a une course de NASCAR
Lorsque les nouveaux models de voitures se retrouvèrent dans la salle de montre a l’automne 1957, certaines équipes firent l’acquisition de nouveau models, afin de les préparer le plus vite possible pour la course inaugurale de Daytona Beach qui aurait lieux en février.
Curtis Turner au volant d’une Ford 1958 Hooleman-Moody.
La résolution de l’AMA était bien respectée par les manufacturiers, notamment Chrysler qui n’avait pas « poussé » personne à utiliser ses produits pour la saison 1958 et cela a pu s’observer par l’absence quasi-totale de ses produits sur les pistes. Ford et Chevrolet, qui eux-même avait été les premiers à proposer la résolution furent ceux qui eurent le plus de difficulté à la respecter. Comme par magie, les concessionnaires Chevrolet qui étaient situés près des garages de certaines équipes NASCAR coursant ses produits avaient toujours une salle de montre et un comptoir de pièce bourré de produits destinés à la performance. Ford qui n’était pas près à laisser son ennemi juré voler les podiums s’en prit d’une autre façon, l’équipe Holeman-Moody eurent une mystérieuse donation d’une flotte complète de Ford ’58 flambant neuves, non pas du manufacturier, mais gracieuseté d’un regroupement de concessionnaires de la région de la Caroline du nord.
Buck Baker, champion de 1957, surtout reconnu comme pilote vedette du Chevrolet « factory team », se servit de la bourse de champion pour faire l’acquisition d’une Chevrolet Del-Ray 1958 équipé d’une « nouveau » 348 pc.
Buck Baker et sa Del-Ray 1958. Celui-ci ne tardera pas de remplacer celle-ci pour une Chevrolet 1957, aussi performante, plus rigide et légère et surtout plus économique à rouler.
Malheureusement, pas touts les pilotes eurent la chance d’avoir des voitures neuves, en fait la majorité des pelotons pour la saison 1958 sera constitué des voitures de 1956 et 1957.
La course en sera une excitante comme à l’habitude, Daytona Beach étant la course la plus convoité des pilotes, malgré des problèmes d’argent et une affluence de spectateurs un peu moindre, les pilotes sont toujours aussi gonflé à bloc.
Fireball Roberts faisant glisser les roues arrière de sa Buick Century.
Fireball Roberts tentera encore de récupérer la victoire qui lui a glissé entre les doigts en 1955. Il reprendra son partenariat avec Inland Buick/Fish Carburator afin de retrouver une combinaison victorieuse, Roberts qui était sans volant depuis que Ford a retirer son équipe du NASCAR.
Fish Carburator/Inland Buick Vs Holeman-Moody, sur cette ligne droite pavé du circuit ces deux voiture ont été enregistré filant à des vitesses constante au dessus de 120 mph!
Malheureusement pour Roberts, il ne pu que prendre la neuvième place de la course, ce fut la dernière course au Grand-National pour l’équipe Inland Buick /Fish Carburator.
Pontiac 1958, conduite par Paul Goldsmith
Smokey Yunnick et Paul Goldsmith forment encore un duo en 1958 avec une Pontiac qui offre des performances solides
Goldsmith réussi a tenir la tête malgrès la brume de la mer et des essuis glaces défectueux, sur cette photo, il frole la sortie de piste, faute de voir correctement le tracé.
Goldsmith remportera la course aux conditions difficile de 1958. Il disputera encore quelques course pour ensuite quitter NASCAR pour tenter sa chance en Indy. Smokey Yunnick gardera les couleurs noires et or sur ses voitures comme marque de commerce.
La Pontiac 1958, maintenant propriété de Smokey Yunnick, victorieuse à Daytona Beach.
Les Pontiac "neuve" sont maintenant dans les voitures les plus désirés des pilotes.
Pontiac est probablement la voiture « neuve » de 1958 qui su le mieux surpasser les produits qu’elle a présenté en 1957, pour les autres fabricants c’est un autre histoire…
La olds 1957 de Lee Petty.
En fait la majorité des pilotes préfèrent continuer a courser les models de 1957, pour des raisons économiques et surtout qu’une grande majorité de ses voitures avaient été mieux préparés, surtout les « ex-factory cars » tombé entre les mains d’équipes indépendantes. Le fait que l’écart des performances entre les voitures de 1957-1958 ne soit pas aussi significatif qu’entre celles de 1956-1957 et que les models de 1958 sont généralement plus lourd fait que les models de 1957 seront des voitures compétitives.
Fireball Roberts (Centre) et sa Chevrolet #22.
Fireball Roberts qui après la fin des Ford « factory team » et de l’essaie infructueux avec Inland Buick/Fish Carburator aura de sérieux problèmes de financement et ne pourra que participer à un faible pourcentage des courses au volant de sa Chevrolet ’57 # 22.
1958 voit apparaître une multitude de circuit ovale et pavé. Bien que le public et moins nombreux pour assister les courses en son très existantes et spectaculaires.
Les pelotons mixtes de voitures 1957-1958.
Les vitesses obtenues sur les ovals pavés commencent à se rapprocher très près de celle obtenues par les Indy qui sont pas mal plus « high tech » au niveau du freinage et de l’aérodynamisme et les voitures de production régulière commencent à avoir des problèmes à endurer de tels vitesses.
Les pneux aussi ont la vie dure et les « guard rails » étant pratiquement absents, lorsque les voitures décrochent celles-ci vont littéralement se faire éjecter des circuits pour aller s’écraser en dehors de la piste.
Les pilotes étant pour la plupart des « moonshine runners » habitués d’ajuster leurs voitures pour des conditions de glisse sur terre battue doivent faire face à une nouvelle réalité et s’ajusté avec des réglages sur ovales pavés.
Le pilote de cette Ford a survécu à l’accident et l’on a continué à disputer la course, demandant simplement au pilote de « lever le pied » lorsqu’ils arrivaient à la hauteur du trou béant fait dans la clôture de sécurité.
Plusieurs pilotes commencent à développer une véritable peur des circuits ovales à cause du niveau de risque qu’ils représentent. D’autres pilotes, sans peur, fonceront comme des kamikazes le pied au plancher le plus notable étant Fireball Foberts.
Fireball Roberts victorieux.
Roberts et sa Chevrolet ’57 ne participent presque uniquement aux courses disputées sur les « super-speedway » et sur ses circuits, Roberts et intouchables et un des favoris du public à cause de ses nerfs d’aciers. Sur les dix courses qu’il participera en 1958, Roberts en remportera six.
Fireball Roberts a vécu des hauts et des bas depuis 1955. Celui-ci aspire à des jours meilleurs pour la saison 1959.
NASCAR vit une saison difficile, les spectateurs n’affluent pas sur les circuits et beaucoup d’équipes et d’événement seront absentes pour la saison 1958. Bill France permettra donc aux circuits plus en difficultés de faire courir les convertibles avec les voitures régulières dans la même course, rendant ainsi les pelotons plus peuplés et sauvant sur les coûts.
Dans toute l’histoire du NASCAR les records d’impopularité de 1958 ne seront jamais égalés par la suite.
Le grand gagnant de la saison 1958 sera Lee Petty qui avec ses Oldsmobile 1957 (Convertible et sedan) assure des performances et présence constante tout au long du championnat. Au classement, un obscur jeune pilote du nom de Parnelli Jones figurera au 33ième rang.
Lee Petty en bagarre avec une convertible de Holeman-Moody.
Comment Bill France redressera-t-il la crise que subit le NASCAR en 1958? Avec l’abstinence de Détroit en course et une récession qui fait mal a l’industrie automobile, le défi s’annonce de taille pour France….
La suite, bientôt…
Greaser- Kustom Kemper
- Ville/Région : Mourrial
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Date d'inscription : 16/02/2005
Voiture(s) : Buick Super 1958 4dr ht
Re: HISTOIRE DE NASCAR
Comme d'habitude...
Simplement sublime comme toujours...
Réjean (La Gélinotte)
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S'il pleuvait des arbres, peut-être pourrions nous permettre des coupes a blanc.....
LAGELINOTTE- Maniaque
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Voiture(s) : Grand National 1987...Vendu...Sniff, Sniff
Re: HISTOIRE DE NASCAR
Salut Greaser
Comme d'habitude, SPLENDIDE!
Comme d'habitude, SPLENDIDE!
custom53- Vrai de vrai
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Voiture(s) : Ford Customline 1953(vendu) et Buick Lesabre convertible 1970
Re: HISTOIRE DE NASCAR
Ce post n'est pas mort!
J'ai moins de temps que j'avais pour rédiger ceci, mais j'arrive avec la saison 1959 bientot!
J'ai moins de temps que j'avais pour rédiger ceci, mais j'arrive avec la saison 1959 bientot!
Greaser- Kustom Kemper
- Ville/Région : Mourrial
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Voiture(s) : Buick Super 1958 4dr ht
Re: HISTOIRE DE NASCAR
Partie XV
1959 – Les voitures.
Les « yeux en amendes » et les « ailes de batman » des Chevrolet et Cadillac 1959 sont souvent considérées comme le summum de l’extravagance des voitures des années 50.
Après l’échec du style des voitures présenté par Général Motors en 1958 et la retraite du chef styliste Harley Earl chez le premier fabricant automobile en Amérique du Nord, GM se sent dans une position plus faible par rapport à la compétition, eux qui dominait l’industrie depuis environ 1954.
On remplace Earl par Bill Mitchell et le design des voitures en changera grandement.
Bill Mitchell. Bien que Harley Earl soit le designer automobile plus plus reconnu au monde, Mitchell a réellement frappé le public en 1963 en présentant la Buick Riviera.
La voiture est désormais reconnue mondialement par les Designers Industriel comme une voiture ayant des formes qui plaisent a l’œil de tous les angles et est encore une référence en la matière. On oublie cependant que Mitchell et aussi derrière les corvettes des 60’s, des Chevrolet Camaro/Pontiac Firebird et de la gamme complète des Muscle car de la « belle époque » du début des 70’s.
Plus influencé par la tendance du « Foward Look » de Virgil Exner chez Chrysler, la gamme GM de 1959 auras un look plus accès sur des voitures basse et large, moins chromés.
Chevrolet 1959.
Chevrolet Lance le El-Camino en 1959 pour faire compétition aux populaire Ranchero qui font partie de la gamme de Ford depuis 1957.
Chevrolet passe au bistouri et peu d’attrait visuel de 1958 se retrouvent dans le model 1959, l’Impala demeure le model sport/haut de gamme et continue d’offrir les même moteurs qu’en 1958. Soit un V8 de 283 pc dont la configuration la plus puissante demeure la version haute compression équipée de l’injection mécanique Rochester développe 290 hp, celui-ci retrouvera sa place surtout dans les corvettes. Le 348 pc « W-head » est aussi réutilisé en 1958, cette fois-ci la version haute compression équipé des trois carburateurs 2 corps poussera un 315 hp! (la même configuration en 1958 donnait 280 hp). Les voiture de NASCAR pourront se contenter du 348 pc avec le carburateur quatre corps qui affiche les 305 hp.
Publicite Chevrolet 1959 :
https://www.youtube.com/watch?v=WofWos_st_Q
Pontiac 1959
Pontiac récidive en 1959 et présente sa nouvelle gamme de voiture. Encore une fois, le look et le marketing continue toujours de viser une clientèle bien précise à l’instar de Chevrolet qui doit d’abord offrir voiture plus pratique et simple qu’a la mode.
Les larges et «cool » Pontiac.
Coté motorisation, on « évolue » le V8 de 370 pc qui se trouvait dans le model de 1958 pour le faire passer à 389 pc qui sera offert de série sur tout les models (américains) avec des puissance allant de 215 hp (carburateur 2 corps) à 315 hp ( 3 x 2 carburateurs, compression plus élévé) ce V8 deviendra le moteur « signature » de Pontiac connaissant sa gloire surtout dans les premières GTO. Mais les chiffres de performances plus sérieux sont offert sur le moteur « Tempest 420 », ce 389 de haute compression est tout désigné pour ne faire que de la course en offrant un maximum de 345 hp avec une configuration 3 carburateur 2 corps et 330 hp avec un quatre corps, pour le NASCAR. Encore une fois les chiffres des motorisations de Pontiac surclasse les autres divisions de GM et viennent égaler ceux de Cadillac qui offre un 345 hp max de leur V8 de 390 pc. Malgré ses chiffres Pontiac ne peu le crier sous tous les toits dut aux restrictions de l’AMA
Touts les moyens détournés sont bon pour les compagnies de vanter leur moteur de course sans parler directement de performance
Afin d’atteindre un look large pour donner une impression de réel différence entre Pontiac et Chevrolet, Pontiac lance ces roues « Wide Track » qui prime à bord servent uniquement pour des raisons consmétique, mais il s’avère que par « hasard » cette option est tout a fait désigné pour garder une certaine stabilité à haute vitesse.
Publicité Pontiac annoncant le Wide Track.
Oldsmobile doit réparer les pots cassés de 1958 et faire face à Pontiac qui a maintenant prit la place de la voiture abordable et performante chez General Motors. La barre est haute et le design présenté par la plus vieille division de GM ressemble beaucoup aux Pontiacs.
Olds 1959.
Oldsmobile qui voit sa place déclassé dans le cœur des amateurs de performance chez GM va se concentré sur sont mandat original au sein de la compagnie qui est d’ammener de nouvelles technologie dans les véhicule dont nottament en 1959 : le Vista Windshield et la radio AM qui peut être portative si désiré.
Afin de suivre la cadence, Oldsmobile develope sont V8 de 371 pc de 1957-1958 pour le faire passer à 394 pc! Bien que ce chiffre soit important les chiffres affiches n’approchent pas ceux de Pontiac, la Olds Super 88 atteint un maximum de 315 hp avec le carburateur quatre corps et l’option J-2 disparaît du catalogue en 1959.
Pub Olds 1959 :
https://www.youtube.com/watch?v=GhcbVV7Unjs
Voilà c’est tout pour les voitures qui marqueront le NASCAR en 1959….
Comment et les autres? Seulement Gm?
Oui et non, il faut bien comprendre que des trois grand manufacturier participant au NASCAR et qui ont voté tout forme d’implication en course automobile avec l’AMA, c’est General Motors qui a le moins respecté les règles. Pontiac continuant constamment d’offrir des voitures performantes à bas prix et Chevrolet qui offrait des produits intéressant avec un support «secret » du manufacturier à travers les réseaux de concessionnaire.
Chrysler n’a pas vraiment besoin du NASCAR pour mousser ses ventes en 1959, car leur style performances et innovations ont trouvé une clientèle fidèle pour acheter ses produits.
La compagnie qui a sut le mieux s’abstenir fut Chrysler.
Desoto, Plymouth, Imperial, Dodge et Chyrsler continuait d’offrir des produits performants, seulement ceux-ci manquait d’attierer les pilotes indépendants qui se voyaient laissé à eux même lorsqu’il mettait ses produits en piste.
Dodge 1959. Bien qu’impopulaire en NASCAR, la Dodge D-500 fait encore partie du catalogue et sont V8 de 383 pc affiche un 320 hp et le Super D-500 donne 345 hp
Pub DeSoto 1959 :
https://www.youtube.com/watch?v=HCsTZV3hyYI
Évidemment la référence chez Chrysler pour la performance demeure la 300-E.
Chrysler 300 E 1959.
Chrysler remplace sont infâme V8 « Hemi » de 392 pc pour le tout nouveau 413 pc «Wedge » qui offre beaucoup de couple (450 lbs/ft). Mais malheureusement pour la 300-E bien que ce nouveau moteur soit équipé de 2 carburateurs quatre corps celui-ci optient les même chiffre de puissance que ceux obtenues en 1958 avec le « Hemi » soit 380 hp.
Bien que ce chiffre est bien au delà de la moyenne des voitures nord américaine la Chrysler 300 avait habituer le public en se surpassant année après année en sortant des mécaniques aux performances agressives. Le style et performances trop similaire a la Chrysler 300 de 1958 fera de la 300-E une des plus imppopulaire des « letter cars ».
Un autre marque qui n’aura pas l’attention du public en 1959 sera Buick
Buick 1959.
Buick qui avait vu grand en 1958 en lacant la Limited qui se trouvait a être un équivalent direct d’une Cadillac a dut revoir sa gamme de facon plus realiste. En tentant de réchaper l’echec du style de la Buick 1958 la division aux trois écussons lance leur nouvelle voiture qui a des lignes aussi agressives que les produits présenté par Chrysler.
Buick Invictia 1959. La LeSabre, l’Invictia et l’Electra seront les nouveau noms des models offret par Buick.
Buick se trouvera donc, en 1959 à être la première division de Général Motors à dépasser la barre du 400 pc en lançant sont V8 de 401 pc qui n’est en fait une évolution du V8 de 364 « Nailhead » pc de 1957-1958. Équipé du carburateur quatre corps ce moteur affiche les 345 hp.
Bien que Chrysler et Buick n’aient aucune popularité chez les pilotes de voiture « Stock » de la cote Est américaine, leur mécanique gagne notoriété chez les pilotes de « modifiées » de la cote Ouest.
La cote Ouest avec la Californie en tête de liste, voit la popularité du Drag Racing monté en flèche et ce déclassant le NASCAR. Un sport focussant surtout sur l’innovation et le développement des moteurs les compétiteur se retrouvent constament à la recherche de mécanique aillant un potentiel de puissance brute lorsque modifié et les « grosses » mécaniques offertes par Chrysler et Buick en 1959 semblent toutes désignées!
Et les record et championant de la NRA de la fin des 50’s seront dominé par des mécanique Chrysler/Buick avec en vedette Don Garlits sur Chrysler et Tommy « TV » Ivo sur Buick
Dragster de Don Garlits avec mécanique Chrysler.
Dragster de Tommy Ivo avec mécanique Buick.
Avec la l’attention des amateurs tournés vers ses mécaniques faciles a reconnaître a l’œil nue dut a leur aspect visuel respectif, le mouvement du Hot Rodding de l’Ouest des USA ne tardera pas à aller a la recherche de « Hemi » et de « Nailhead » pour placer dans leur Hot Rod.
Hemi Rod
Nailhead Rod
Et Ford?
La gamme Ford présenté en NASCAR pour 1959 sera incluse dans le post de la saison de 1959.
La suite bientôt …certainement plutôt que cet épisode! Veuillez m’en excuser j’ai un horaire charger ces temps-ci.
1959 – Les voitures.
Les « yeux en amendes » et les « ailes de batman » des Chevrolet et Cadillac 1959 sont souvent considérées comme le summum de l’extravagance des voitures des années 50.
Après l’échec du style des voitures présenté par Général Motors en 1958 et la retraite du chef styliste Harley Earl chez le premier fabricant automobile en Amérique du Nord, GM se sent dans une position plus faible par rapport à la compétition, eux qui dominait l’industrie depuis environ 1954.
On remplace Earl par Bill Mitchell et le design des voitures en changera grandement.
Bill Mitchell. Bien que Harley Earl soit le designer automobile plus plus reconnu au monde, Mitchell a réellement frappé le public en 1963 en présentant la Buick Riviera.
La voiture est désormais reconnue mondialement par les Designers Industriel comme une voiture ayant des formes qui plaisent a l’œil de tous les angles et est encore une référence en la matière. On oublie cependant que Mitchell et aussi derrière les corvettes des 60’s, des Chevrolet Camaro/Pontiac Firebird et de la gamme complète des Muscle car de la « belle époque » du début des 70’s.
Plus influencé par la tendance du « Foward Look » de Virgil Exner chez Chrysler, la gamme GM de 1959 auras un look plus accès sur des voitures basse et large, moins chromés.
Chevrolet 1959.
Chevrolet Lance le El-Camino en 1959 pour faire compétition aux populaire Ranchero qui font partie de la gamme de Ford depuis 1957.
Chevrolet passe au bistouri et peu d’attrait visuel de 1958 se retrouvent dans le model 1959, l’Impala demeure le model sport/haut de gamme et continue d’offrir les même moteurs qu’en 1958. Soit un V8 de 283 pc dont la configuration la plus puissante demeure la version haute compression équipée de l’injection mécanique Rochester développe 290 hp, celui-ci retrouvera sa place surtout dans les corvettes. Le 348 pc « W-head » est aussi réutilisé en 1958, cette fois-ci la version haute compression équipé des trois carburateurs 2 corps poussera un 315 hp! (la même configuration en 1958 donnait 280 hp). Les voiture de NASCAR pourront se contenter du 348 pc avec le carburateur quatre corps qui affiche les 305 hp.
Publicite Chevrolet 1959 :
https://www.youtube.com/watch?v=WofWos_st_Q
Pontiac 1959
Pontiac récidive en 1959 et présente sa nouvelle gamme de voiture. Encore une fois, le look et le marketing continue toujours de viser une clientèle bien précise à l’instar de Chevrolet qui doit d’abord offrir voiture plus pratique et simple qu’a la mode.
Les larges et «cool » Pontiac.
Coté motorisation, on « évolue » le V8 de 370 pc qui se trouvait dans le model de 1958 pour le faire passer à 389 pc qui sera offert de série sur tout les models (américains) avec des puissance allant de 215 hp (carburateur 2 corps) à 315 hp ( 3 x 2 carburateurs, compression plus élévé) ce V8 deviendra le moteur « signature » de Pontiac connaissant sa gloire surtout dans les premières GTO. Mais les chiffres de performances plus sérieux sont offert sur le moteur « Tempest 420 », ce 389 de haute compression est tout désigné pour ne faire que de la course en offrant un maximum de 345 hp avec une configuration 3 carburateur 2 corps et 330 hp avec un quatre corps, pour le NASCAR. Encore une fois les chiffres des motorisations de Pontiac surclasse les autres divisions de GM et viennent égaler ceux de Cadillac qui offre un 345 hp max de leur V8 de 390 pc. Malgré ses chiffres Pontiac ne peu le crier sous tous les toits dut aux restrictions de l’AMA
Touts les moyens détournés sont bon pour les compagnies de vanter leur moteur de course sans parler directement de performance
Afin d’atteindre un look large pour donner une impression de réel différence entre Pontiac et Chevrolet, Pontiac lance ces roues « Wide Track » qui prime à bord servent uniquement pour des raisons consmétique, mais il s’avère que par « hasard » cette option est tout a fait désigné pour garder une certaine stabilité à haute vitesse.
Publicité Pontiac annoncant le Wide Track.
Oldsmobile doit réparer les pots cassés de 1958 et faire face à Pontiac qui a maintenant prit la place de la voiture abordable et performante chez General Motors. La barre est haute et le design présenté par la plus vieille division de GM ressemble beaucoup aux Pontiacs.
Olds 1959.
Oldsmobile qui voit sa place déclassé dans le cœur des amateurs de performance chez GM va se concentré sur sont mandat original au sein de la compagnie qui est d’ammener de nouvelles technologie dans les véhicule dont nottament en 1959 : le Vista Windshield et la radio AM qui peut être portative si désiré.
Afin de suivre la cadence, Oldsmobile develope sont V8 de 371 pc de 1957-1958 pour le faire passer à 394 pc! Bien que ce chiffre soit important les chiffres affiches n’approchent pas ceux de Pontiac, la Olds Super 88 atteint un maximum de 315 hp avec le carburateur quatre corps et l’option J-2 disparaît du catalogue en 1959.
Pub Olds 1959 :
https://www.youtube.com/watch?v=GhcbVV7Unjs
Voilà c’est tout pour les voitures qui marqueront le NASCAR en 1959….
Comment et les autres? Seulement Gm?
Oui et non, il faut bien comprendre que des trois grand manufacturier participant au NASCAR et qui ont voté tout forme d’implication en course automobile avec l’AMA, c’est General Motors qui a le moins respecté les règles. Pontiac continuant constamment d’offrir des voitures performantes à bas prix et Chevrolet qui offrait des produits intéressant avec un support «secret » du manufacturier à travers les réseaux de concessionnaire.
Chrysler n’a pas vraiment besoin du NASCAR pour mousser ses ventes en 1959, car leur style performances et innovations ont trouvé une clientèle fidèle pour acheter ses produits.
La compagnie qui a sut le mieux s’abstenir fut Chrysler.
Desoto, Plymouth, Imperial, Dodge et Chyrsler continuait d’offrir des produits performants, seulement ceux-ci manquait d’attierer les pilotes indépendants qui se voyaient laissé à eux même lorsqu’il mettait ses produits en piste.
Dodge 1959. Bien qu’impopulaire en NASCAR, la Dodge D-500 fait encore partie du catalogue et sont V8 de 383 pc affiche un 320 hp et le Super D-500 donne 345 hp
Pub DeSoto 1959 :
https://www.youtube.com/watch?v=HCsTZV3hyYI
Évidemment la référence chez Chrysler pour la performance demeure la 300-E.
Chrysler 300 E 1959.
Chrysler remplace sont infâme V8 « Hemi » de 392 pc pour le tout nouveau 413 pc «Wedge » qui offre beaucoup de couple (450 lbs/ft). Mais malheureusement pour la 300-E bien que ce nouveau moteur soit équipé de 2 carburateurs quatre corps celui-ci optient les même chiffre de puissance que ceux obtenues en 1958 avec le « Hemi » soit 380 hp.
Bien que ce chiffre est bien au delà de la moyenne des voitures nord américaine la Chrysler 300 avait habituer le public en se surpassant année après année en sortant des mécaniques aux performances agressives. Le style et performances trop similaire a la Chrysler 300 de 1958 fera de la 300-E une des plus imppopulaire des « letter cars ».
Un autre marque qui n’aura pas l’attention du public en 1959 sera Buick
Buick 1959.
Buick qui avait vu grand en 1958 en lacant la Limited qui se trouvait a être un équivalent direct d’une Cadillac a dut revoir sa gamme de facon plus realiste. En tentant de réchaper l’echec du style de la Buick 1958 la division aux trois écussons lance leur nouvelle voiture qui a des lignes aussi agressives que les produits présenté par Chrysler.
Buick Invictia 1959. La LeSabre, l’Invictia et l’Electra seront les nouveau noms des models offret par Buick.
Buick se trouvera donc, en 1959 à être la première division de Général Motors à dépasser la barre du 400 pc en lançant sont V8 de 401 pc qui n’est en fait une évolution du V8 de 364 « Nailhead » pc de 1957-1958. Équipé du carburateur quatre corps ce moteur affiche les 345 hp.
Bien que Chrysler et Buick n’aient aucune popularité chez les pilotes de voiture « Stock » de la cote Est américaine, leur mécanique gagne notoriété chez les pilotes de « modifiées » de la cote Ouest.
La cote Ouest avec la Californie en tête de liste, voit la popularité du Drag Racing monté en flèche et ce déclassant le NASCAR. Un sport focussant surtout sur l’innovation et le développement des moteurs les compétiteur se retrouvent constament à la recherche de mécanique aillant un potentiel de puissance brute lorsque modifié et les « grosses » mécaniques offertes par Chrysler et Buick en 1959 semblent toutes désignées!
Et les record et championant de la NRA de la fin des 50’s seront dominé par des mécanique Chrysler/Buick avec en vedette Don Garlits sur Chrysler et Tommy « TV » Ivo sur Buick
Dragster de Don Garlits avec mécanique Chrysler.
Dragster de Tommy Ivo avec mécanique Buick.
Avec la l’attention des amateurs tournés vers ses mécaniques faciles a reconnaître a l’œil nue dut a leur aspect visuel respectif, le mouvement du Hot Rodding de l’Ouest des USA ne tardera pas à aller a la recherche de « Hemi » et de « Nailhead » pour placer dans leur Hot Rod.
Hemi Rod
Nailhead Rod
Et Ford?
La gamme Ford présenté en NASCAR pour 1959 sera incluse dans le post de la saison de 1959.
La suite bientôt …certainement plutôt que cet épisode! Veuillez m’en excuser j’ai un horaire charger ces temps-ci.
Greaser- Kustom Kemper
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Voiture(s) : Buick Super 1958 4dr ht
Re: HISTOIRE DE NASCAR
tu es tout excusé greaser ont suis ca religieusement beau travail
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mopar ou rien d autre
BAH # 1221-07
cuda19702- Vrai de vrai
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
cuda19702 a écrit:tu es tout excusé greaser ont suis ca religieusement beau travail
Absolument , comme on voyait souvent sur les site internet avec plus de fichier image et vidéo il y a 7-8 ans "may be long but worth the download"
ADM- Administrateur
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
Merci...
Encore d'une qualité exquise...
C'est rendu comme une émission en série favorite a la télévision... giriboire l'heure de présentation passe trop vite...
A quand la prochaine...
Réjean (La Gélinotte)
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S'il pleuvait des arbres, peut-être pourrions nous permettre des coupes a blanc.....
LAGELINOTTE- Maniaque
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
Salut Greaser
Très intérèssant encore un fois
Salutations
Très intérèssant encore un fois
Salutations
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Je n'était pas collectionneur mais collecteur
Je me permet d'écrire sur ce forum parce que j'en suis un des batisseurs
o7 Leader : Wardog Org ..i..
427copoz- Bâtisseur
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
Dans le films d'animation les Bagnoles dans la section special feature il y a un video sur l'inspiration du films et on voie quelques images d'époque de Nascar
Dom- Bâtisseur
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
prend tout ton temp greaser l attente vault la peine
invité0213- Vétéran
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
Excusez moi d'avoir cassé votre habitude de lecture hebdomadaire..je suis maintenant "Back on track!"
PARTIE XVI
1959 – SAISON
NASCAR va vivre une de ses course les plus historique et serré.
En 1958, Ford aussi n’attire pas les foule avec son nouveau model de voiture et doit immédiatement retourner à la table à dessins pour corriger la situation et le nouveau models fait son entrée dans les salles de montre : la Galaxie 500 déclassera la Fairlane 500 au sommet de la gamme offert par la marque.
Ford 1959.
Tout comme chez les autres manufacturiers, Ford ne présente pas de nouvelle mécanique en 1959, on retravaillera légèrement le V8 de 352 pc pour y baisser légèrement le taux de compression. Le moteur a donne bonnes prouesses économie/performance, mais il affiche les même chiffres de puissance qu’en 1958, soit 300 hp, ce qui est en dessous de la compétition soit Chevy, Olds, Pontiac et Plymouth.
Ford doit immédiatement trouvé une solution, car toute l’attention des médias sera porté sur le NASCAR, car la première course sera celle qui inaugurera le « nouveau » circuit de Daytona, un circuit qui mettra l’emphase sur la vitesses des voitures, or Ford ne sent pas que sa Galaxie 500 sera de taille. Ford est bien conscient que Chevrolet et Pontiac manigancent déjà leur domination, plusieurs de ses voitures inscrites pour la saison 1959 ont comme propriétaire des concessionnaires. N’étant pas « Directement » lié aux manufacturier, Bill France ne peut empêcher cette situation alors qu’il sait très bien que Chevrolet et Pontiac envoient en cachettes des pièces et des mécaniciens directement de Détroit travailler secrètement sur ses voitures à même les garages de concessionnaires.
Thunderbird 1959
Ford, qui ne s’attendait pas à ce que General Motors joue en hypocrite, doit jouer de ses deux atouts qui lui reste si elle veut éviter la déconfiture : La Thunderbird et Holeman-Moody. Ford qui voyait sa Thunderbird bien se vendre en 1958 décida que de lui apporter des détails cosmétiques mineur pour 1959, décida dès la mi-1958 de laisser Holeman-Moody acheter ces nouvelles voitures sans moteur pour que ceux-ci puissent les préparer adéquatement pour leur donné robustesse et rigidité et surtout pour que l’équipe technique de NASCAR puisse accepter l’inscription d’une telle voiture pour la saison 1959.
La Thunderbird qui avait perdu ses qualités de « sports car » en 1958 pour prendre un poids et des dimensions semblables à une voiture régulière fut accepter par Bill France et la Thunderbird sera le produit Ford qui se retrouvera sur les ovales en 1959. Établis dans les « vieilles » installations de Ford, chaque Thunderbird vendu à Holeman-Moody sera préparé pour être revendu a des indépendants par la suite. Étant donné que Holeman-Moody fait l’acquisition de ses voitures, il est donc impossible de prouver que Ford supporte le NASCAR.
Une T-Bird Holeman-Moody.
Les dirigeant de chez Ford se creusent les méninges pour augmenter la puissance de leur voiture et on laisse éventuellement tomber le V8 « Interceptor » de 352 pc pour la T-Bird, le seul problème est qu’il n’existe pas de moteur plus puissant au sein de la gamme de moteur FE (Ford Engine), Ford transgressera alors sa politique interne et décidera d’utiliser un moteur MEL (Mercury-Edsel-Lincoln) pour avoir une mécanique fiable développant plus de 300 hp avec un simple carburateur quatre corps. Le choix se portera sur le plus gros moteur de la famille MEL, soit le V8 de 430 pc. Il s’agit en fait d’une version « dé-tunner » du Super-Marauder de 1958 qui développait 400 hp. Cette version du Marauder conçu pour la T-Bird affiche les 350 hp. Vers la fin 1958 Holeman-Moody prendra livraison des V8 « Marauder » pour les installer dans ces voitures déjà préparées et prêtes à distribués. Il va de soit que Ford dût discrètement ajouter à son catalogue d’option le « Marauder » sur sa Thunderbird, quoique le moteur étant distribué au compte goutte et la grande majorité des « Square-birds » de 1959 furent équipées du V8 de 352 pc régulier.
Des toits « durs » facile a enlever permettaient au T-Bird Holeman-Moody de courir en classe convertibles et sedan régulières.
Préparation d’un 430 pour une T-Bird Holeman-Moody
Bill France voit qui promet l’ultime « Super-Speedway » depuis 1954 pour sa ville chérie, Daytona, voit enfin son rêve se concrétisé et l’on fait le double d’effort pour terminer la construction du circuit pour l’inaugurale course de Daytona en février 1959.
Les jours ou l’on pouvait voir les voitures frottées leur portière sur la plage ensoleillée sont bel et bien fini.
L’installation de Daytona est unique en sont genre et sa construction n’est pas terminé qu’elle attire déjà massivement l’attention des médias.
Alors que le circuit n’est pas encore pavé, Bill France conduit sessions des tours d’essaie aux Pilotes de NASCAR et représentant des médias.
Une « test run » abord d’une Oldsmobile.
L’inclinaison de 31 degrés, les longues lignes droites, les virages requérant peu de freinage et la surface asphalté sont déjà des éléments qui permettent aux pilotes de présager que les vitesses qui seront obtenues sur le circuit seront au-delà de tout ce que le NASCAR à connu. Les vieux de la vieille qui sont habitués des installations minuscules en terre battues sont carrément effrayés et refusent de courir le Daytona 500.
Les équipes débarqueront a Daytona en Février pour participer aux « test » run avant la qualification du Daytona 500. Les Floridiens misent alors leur espoir sur Fireball Roberts qui a joint ses forces à Smokey Yunnick sur Pontiac. (La voiture étant la propriété du légendaire concessionnaire Stephens Pontiac)
Yunnick et Roberts posant devant leur Pontiac. Avec moins de moyens qu’auparavant, ceux-ci vont concentrer leurs efforts uniquement sur les évènements ou les prix en argent sont importants.
Le public garde un œil attentif sur les Thunderbird Holman-Moody qui annoncent livrer une forte opposition aux Chevrolet, mais la majorité des amateur de NASCAR placeront leur « gagures » sur le champion de 1958, Lee Petty, qui a fait l’acquisition d’une Oldsmobile flambant neuve pour la saison 1959.
Thunderbirds à Daytona.
Lors des premières journées d’essais officiels sur la piste de Daytona, la voiture la plus rapide fut la Thunderbird de Curtis Turner qui atteignit les 143 mph (230 km/h). Il est à noté que certains pilotes ont dût « lever le pied » lors des essais car plusieurs partie des barrières de sécurités qui entourent le circuit n’était pas encore installé rendant la piste dangereuse si une voiture perd le contrôle.
De nos jours les pilotes roulent dans les 188 mph (301 km/h) à Daytona. Ce qui rend assez impressionnantes les vitesses de 1959, puisque les voitures étaient des voitures de rues, équipes de freins à tambours aux quatre roues, aucun élément d’aérodynamisme, pas de pneu à carcasse radiale et des voitures très lourdes complètement en métal. À noter qu’ils n’avaient pas de combinaison ignifuge, des casques primitifs et seulement des ceintures de sécurité 1 passe au niveau du ventre.
Qualifications à Daytona.
Cotton Owens signera la temps le plus rapide lors des qualifications, 39 voitures seront inscrites pour compétitioner au Grand National alors que 20 autres voitures seront inscrite dans la classes des « convertibles », faisant un total de 59 voitures en pistes!
Convertibles à Daytona
Bill France doit mettre fin aux courses de convertibles, car celle-ci sont devenues dangereuses sur les ovales à grande vitesses puisque les voitures sont très instable à cause de leur handicap aérodynamique et se retrouvent à être beaucoup plus lentes en piste que les sedans régulière.
Le 22 Février 1959, on donne le départ du premier Daytona 500. Environ 42 000 personnes seront présents pour assister a cet événement historique.
Vue du « champ intérieur » de Daytona.
L’Amérique a l’œil rivé sur Daytona et les enjeux sont gros, pour NASCAR, les manufacturiers automobiles, les pilotes et équipes. La course est serré est les rebondissements sont nombreux, bon nombre de voitures perdent des roues, celle-ci incapable de supporter le stress des hautes vitesses. La Pontiac « Wide-track » de Fireball Roberts semble tout designer pour ce circuit et celui-ci prendra rapidement la tête mais devra abandonner plus tard pour un problème de moteur.
Daytona file encore entre les doigts de Roberts qui doit abandonner.
.
À mesure que l’on se rapproche de la fin de l’épreuve, la bagarre pour la tête et de plus en plus serré
. Le Chevy #48 de Bob Weatherly, la Oldsmobile #42 de Lee Petty et la Thunderbird #73 de Johnny Beauchamp. En fait la Chevrolet de Weatherly est un tour en retard, mais comme il reste peu de tour et que sa voiture n’est pas équipée de radio, il tiendra tête a Petty est Beauchamp jusqu’à la fin de l’épreuve.
La chaude lutte des derniers tours du premier Daytona 500
Alors que le dernier tour tire à sa fin le public retient son souffle alors que les voitures franchissent la ligne d’arrivé.
Les trois voiture franchissant la ligne d’arrivé cote à cote.
Le public, les pilotes et officiels NASCAR sont confus. Personne n’est capable de déterminer si Petty ou Beauchamp est victorieux. La victoire est l’une des plus serré jamais connu en NASCAR est une première pour la série qui est à sa 12 ième année d’existence. Comme une décision doit être prise sur le champs les officiels s’entendent de dire que la Thunderbird a été la première voitures a franchir la ligne d’arrivé et Johnny Beauchamp sera donc consacré vainqueur !
Johnny Beauchamp Victorieux.
Bill France met en garde Beauchamp et son équipe que cette victoire est seulement provisoire parce que « The show must go on ». Bill France et les officiels de NASCAR devrons attendre que les films photo de la ligne d’arrivé et le bande vidéo soit développé avant de prendre une décision. Après une semaine de visionnent de vidéos et de photo NASCAR consacrera la victoire du premier Daytona 500 à Lee Petty sur Oldsmobile.
La victoire revient a Lee Petty
Après les émotions fortes de Daytona retombés, NASCAR continue de subir encore les revers de la
récession qui touche l’Amérique, bien que moins catastrophique que l’année 1958 NASCAR n’attirera pas l’attention de l’Amérique en 1959.
Richard Petty est la recrue qui fait le plus parler de lui, car il demeure toujours compétitif au volant de sa Plymouth pour la Saison 1959, bien qu’il ne participe pas à toutes les courses, il finira la saison 15ième.
La majeur partie de la saison se disputera entre le clan Petty (Lee et Richard) sur Oldsmobile/Plymouth, Cotton Owens sur Ford Thunderbird et Speedy Thompson sur Thompson sur Chevrolet.
Buick convertible de Elmo Langley menant le peloton.
Lee Petty se retrouve pour la troisième champion du Grand National, lui , vétéran de 45 ans, commence a songer à la retraite.
Lee Petty, Champion de 1959 et son Oldsmobile.
NASCAR se prépare en entrer dans une nouvelle décennie et une nouvelle ère de l’automobile Nord américaine commence à se dessiner. Ford et Chevrolet se préparent à reprendre leur duel qu`ils n’avaient pas terminé en 1957. Qui flanchera le premier et transgressera « officiellement » les règle de l’AMA?
Voyez un video amateur d’une course de 1959 ;
https://www.youtube.com/watch?v=8rr6XNQZoac
Vous le saurez bientôt….
PARTIE XVI
1959 – SAISON
NASCAR va vivre une de ses course les plus historique et serré.
En 1958, Ford aussi n’attire pas les foule avec son nouveau model de voiture et doit immédiatement retourner à la table à dessins pour corriger la situation et le nouveau models fait son entrée dans les salles de montre : la Galaxie 500 déclassera la Fairlane 500 au sommet de la gamme offert par la marque.
Ford 1959.
Tout comme chez les autres manufacturiers, Ford ne présente pas de nouvelle mécanique en 1959, on retravaillera légèrement le V8 de 352 pc pour y baisser légèrement le taux de compression. Le moteur a donne bonnes prouesses économie/performance, mais il affiche les même chiffres de puissance qu’en 1958, soit 300 hp, ce qui est en dessous de la compétition soit Chevy, Olds, Pontiac et Plymouth.
Ford doit immédiatement trouvé une solution, car toute l’attention des médias sera porté sur le NASCAR, car la première course sera celle qui inaugurera le « nouveau » circuit de Daytona, un circuit qui mettra l’emphase sur la vitesses des voitures, or Ford ne sent pas que sa Galaxie 500 sera de taille. Ford est bien conscient que Chevrolet et Pontiac manigancent déjà leur domination, plusieurs de ses voitures inscrites pour la saison 1959 ont comme propriétaire des concessionnaires. N’étant pas « Directement » lié aux manufacturier, Bill France ne peut empêcher cette situation alors qu’il sait très bien que Chevrolet et Pontiac envoient en cachettes des pièces et des mécaniciens directement de Détroit travailler secrètement sur ses voitures à même les garages de concessionnaires.
Thunderbird 1959
Ford, qui ne s’attendait pas à ce que General Motors joue en hypocrite, doit jouer de ses deux atouts qui lui reste si elle veut éviter la déconfiture : La Thunderbird et Holeman-Moody. Ford qui voyait sa Thunderbird bien se vendre en 1958 décida que de lui apporter des détails cosmétiques mineur pour 1959, décida dès la mi-1958 de laisser Holeman-Moody acheter ces nouvelles voitures sans moteur pour que ceux-ci puissent les préparer adéquatement pour leur donné robustesse et rigidité et surtout pour que l’équipe technique de NASCAR puisse accepter l’inscription d’une telle voiture pour la saison 1959.
La Thunderbird qui avait perdu ses qualités de « sports car » en 1958 pour prendre un poids et des dimensions semblables à une voiture régulière fut accepter par Bill France et la Thunderbird sera le produit Ford qui se retrouvera sur les ovales en 1959. Établis dans les « vieilles » installations de Ford, chaque Thunderbird vendu à Holeman-Moody sera préparé pour être revendu a des indépendants par la suite. Étant donné que Holeman-Moody fait l’acquisition de ses voitures, il est donc impossible de prouver que Ford supporte le NASCAR.
Une T-Bird Holeman-Moody.
Les dirigeant de chez Ford se creusent les méninges pour augmenter la puissance de leur voiture et on laisse éventuellement tomber le V8 « Interceptor » de 352 pc pour la T-Bird, le seul problème est qu’il n’existe pas de moteur plus puissant au sein de la gamme de moteur FE (Ford Engine), Ford transgressera alors sa politique interne et décidera d’utiliser un moteur MEL (Mercury-Edsel-Lincoln) pour avoir une mécanique fiable développant plus de 300 hp avec un simple carburateur quatre corps. Le choix se portera sur le plus gros moteur de la famille MEL, soit le V8 de 430 pc. Il s’agit en fait d’une version « dé-tunner » du Super-Marauder de 1958 qui développait 400 hp. Cette version du Marauder conçu pour la T-Bird affiche les 350 hp. Vers la fin 1958 Holeman-Moody prendra livraison des V8 « Marauder » pour les installer dans ces voitures déjà préparées et prêtes à distribués. Il va de soit que Ford dût discrètement ajouter à son catalogue d’option le « Marauder » sur sa Thunderbird, quoique le moteur étant distribué au compte goutte et la grande majorité des « Square-birds » de 1959 furent équipées du V8 de 352 pc régulier.
Des toits « durs » facile a enlever permettaient au T-Bird Holeman-Moody de courir en classe convertibles et sedan régulières.
Préparation d’un 430 pour une T-Bird Holeman-Moody
Bill France voit qui promet l’ultime « Super-Speedway » depuis 1954 pour sa ville chérie, Daytona, voit enfin son rêve se concrétisé et l’on fait le double d’effort pour terminer la construction du circuit pour l’inaugurale course de Daytona en février 1959.
Les jours ou l’on pouvait voir les voitures frottées leur portière sur la plage ensoleillée sont bel et bien fini.
L’installation de Daytona est unique en sont genre et sa construction n’est pas terminé qu’elle attire déjà massivement l’attention des médias.
Alors que le circuit n’est pas encore pavé, Bill France conduit sessions des tours d’essaie aux Pilotes de NASCAR et représentant des médias.
Une « test run » abord d’une Oldsmobile.
L’inclinaison de 31 degrés, les longues lignes droites, les virages requérant peu de freinage et la surface asphalté sont déjà des éléments qui permettent aux pilotes de présager que les vitesses qui seront obtenues sur le circuit seront au-delà de tout ce que le NASCAR à connu. Les vieux de la vieille qui sont habitués des installations minuscules en terre battues sont carrément effrayés et refusent de courir le Daytona 500.
Les équipes débarqueront a Daytona en Février pour participer aux « test » run avant la qualification du Daytona 500. Les Floridiens misent alors leur espoir sur Fireball Roberts qui a joint ses forces à Smokey Yunnick sur Pontiac. (La voiture étant la propriété du légendaire concessionnaire Stephens Pontiac)
Yunnick et Roberts posant devant leur Pontiac. Avec moins de moyens qu’auparavant, ceux-ci vont concentrer leurs efforts uniquement sur les évènements ou les prix en argent sont importants.
Le public garde un œil attentif sur les Thunderbird Holman-Moody qui annoncent livrer une forte opposition aux Chevrolet, mais la majorité des amateur de NASCAR placeront leur « gagures » sur le champion de 1958, Lee Petty, qui a fait l’acquisition d’une Oldsmobile flambant neuve pour la saison 1959.
Thunderbirds à Daytona.
Lors des premières journées d’essais officiels sur la piste de Daytona, la voiture la plus rapide fut la Thunderbird de Curtis Turner qui atteignit les 143 mph (230 km/h). Il est à noté que certains pilotes ont dût « lever le pied » lors des essais car plusieurs partie des barrières de sécurités qui entourent le circuit n’était pas encore installé rendant la piste dangereuse si une voiture perd le contrôle.
De nos jours les pilotes roulent dans les 188 mph (301 km/h) à Daytona. Ce qui rend assez impressionnantes les vitesses de 1959, puisque les voitures étaient des voitures de rues, équipes de freins à tambours aux quatre roues, aucun élément d’aérodynamisme, pas de pneu à carcasse radiale et des voitures très lourdes complètement en métal. À noter qu’ils n’avaient pas de combinaison ignifuge, des casques primitifs et seulement des ceintures de sécurité 1 passe au niveau du ventre.
Qualifications à Daytona.
Cotton Owens signera la temps le plus rapide lors des qualifications, 39 voitures seront inscrites pour compétitioner au Grand National alors que 20 autres voitures seront inscrite dans la classes des « convertibles », faisant un total de 59 voitures en pistes!
Convertibles à Daytona
Bill France doit mettre fin aux courses de convertibles, car celle-ci sont devenues dangereuses sur les ovales à grande vitesses puisque les voitures sont très instable à cause de leur handicap aérodynamique et se retrouvent à être beaucoup plus lentes en piste que les sedans régulière.
Le 22 Février 1959, on donne le départ du premier Daytona 500. Environ 42 000 personnes seront présents pour assister a cet événement historique.
Vue du « champ intérieur » de Daytona.
L’Amérique a l’œil rivé sur Daytona et les enjeux sont gros, pour NASCAR, les manufacturiers automobiles, les pilotes et équipes. La course est serré est les rebondissements sont nombreux, bon nombre de voitures perdent des roues, celle-ci incapable de supporter le stress des hautes vitesses. La Pontiac « Wide-track » de Fireball Roberts semble tout designer pour ce circuit et celui-ci prendra rapidement la tête mais devra abandonner plus tard pour un problème de moteur.
Daytona file encore entre les doigts de Roberts qui doit abandonner.
.
À mesure que l’on se rapproche de la fin de l’épreuve, la bagarre pour la tête et de plus en plus serré
. Le Chevy #48 de Bob Weatherly, la Oldsmobile #42 de Lee Petty et la Thunderbird #73 de Johnny Beauchamp. En fait la Chevrolet de Weatherly est un tour en retard, mais comme il reste peu de tour et que sa voiture n’est pas équipée de radio, il tiendra tête a Petty est Beauchamp jusqu’à la fin de l’épreuve.
La chaude lutte des derniers tours du premier Daytona 500
Alors que le dernier tour tire à sa fin le public retient son souffle alors que les voitures franchissent la ligne d’arrivé.
Les trois voiture franchissant la ligne d’arrivé cote à cote.
Le public, les pilotes et officiels NASCAR sont confus. Personne n’est capable de déterminer si Petty ou Beauchamp est victorieux. La victoire est l’une des plus serré jamais connu en NASCAR est une première pour la série qui est à sa 12 ième année d’existence. Comme une décision doit être prise sur le champs les officiels s’entendent de dire que la Thunderbird a été la première voitures a franchir la ligne d’arrivé et Johnny Beauchamp sera donc consacré vainqueur !
Johnny Beauchamp Victorieux.
Bill France met en garde Beauchamp et son équipe que cette victoire est seulement provisoire parce que « The show must go on ». Bill France et les officiels de NASCAR devrons attendre que les films photo de la ligne d’arrivé et le bande vidéo soit développé avant de prendre une décision. Après une semaine de visionnent de vidéos et de photo NASCAR consacrera la victoire du premier Daytona 500 à Lee Petty sur Oldsmobile.
La victoire revient a Lee Petty
Après les émotions fortes de Daytona retombés, NASCAR continue de subir encore les revers de la
récession qui touche l’Amérique, bien que moins catastrophique que l’année 1958 NASCAR n’attirera pas l’attention de l’Amérique en 1959.
Richard Petty est la recrue qui fait le plus parler de lui, car il demeure toujours compétitif au volant de sa Plymouth pour la Saison 1959, bien qu’il ne participe pas à toutes les courses, il finira la saison 15ième.
La majeur partie de la saison se disputera entre le clan Petty (Lee et Richard) sur Oldsmobile/Plymouth, Cotton Owens sur Ford Thunderbird et Speedy Thompson sur Thompson sur Chevrolet.
Buick convertible de Elmo Langley menant le peloton.
Lee Petty se retrouve pour la troisième champion du Grand National, lui , vétéran de 45 ans, commence a songer à la retraite.
Lee Petty, Champion de 1959 et son Oldsmobile.
NASCAR se prépare en entrer dans une nouvelle décennie et une nouvelle ère de l’automobile Nord américaine commence à se dessiner. Ford et Chevrolet se préparent à reprendre leur duel qu`ils n’avaient pas terminé en 1957. Qui flanchera le premier et transgressera « officiellement » les règle de l’AMA?
Voyez un video amateur d’une course de 1959 ;
https://www.youtube.com/watch?v=8rr6XNQZoac
Vous le saurez bientôt….
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Re: HISTOIRE DE NASCAR
encore excellent greaser l attente en valais la peine , j attends l autre suite avec impatience
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